Généralités sur Saint Martin des Noyers : Différence entre versions

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Le blason a été étudié par Patrice Sorin, Adjoint, avec l’aide de Maurice Bedon de Chantonnay, spécialiste en recherches héraldiques.
 
Le blason a été étudié par Patrice Sorin, Adjoint, avec l’aide de Maurice Bedon de Chantonnay, spécialiste en recherches héraldiques.
  
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Version du 12 mai 2020 à 10:55

Données géographiques

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Vue générale de l'agglomération en 1978 - Tous droits réservés

La commune de Saint-Martin-des-Noyers est située au centre de la Vendée, à égale distance de la côte atlantique et des départements voisins : Loire Atlantique, Deux Sèvres et Charente Maritime.

Elle est limitrophe des communes de : Essarts en Bocage (7.9 kms), Sainte-Cécile (6.1 kms), Saint Hilaire le Vouhis (6.6 kms), Fougeré (9.9 kms), La Chaize le Vicomte (11.9 kms), La Ferrière (11.9 kms), La Merlatière (11.7 kms).

La commune couvre une superficie de 4 170 hectares, à une altitude minimum de 58 m et maximum de 118 m, dans un paysage bocager comprenant la forêt domaniale du Détroit, et les forêts privées du Creux Jaune à cheval sur St Martin et La Merlatière.

Deux rivières prennent leur source sur son territoire : l’Yon dans la forêt du Détroit se jette dans le Lay à Champ Saint Père (Vendée) ; la Boulogne près de la Grande Goupillère se jette dans le lac de Grandlieu (Loire-Atlantique).

Le bourg de Saint Martin est situé dans un talweg desservi par les routes départementales numéros : 7 (de Luçon à Rocheservière), 47 (de Sainte Cécile à La Merlatière), 52 (de La Ferrière à Bournezeau), 60 (de l’Oie à St Michel en l’Herm).

Données administratives

Région des Pays de la Loire.

Département de la Vendée.

Arrondissement : Montaigu jusqu'en 1810, La Roche-sur-Yon à 23.2 kms depuis cette date.

Canton : Les Essarts jusqu'en mars 2015. Chantonnay à 12.4 kms depuis cette date.

Communauté de communes des Essarts jusqu’au 31 décembre 2016, Communauté de Communes de Chantonnay depuis le 1° janvier 2017.

Membre du Syndicat départemental d’électrification de la Vendée (SYDEV).

Membre du Syndicat d’alimentation en eau potable du Val de Sèvre.


Numéro INSEE : 85 2 06 – 246.

Origine du nom

L’origine du nom actuel SAINT-MARTIN-DES-NOYERS n’est pas connue de manière certaine.

La première mention historique date de 1306. Avant 1306, "de Noeriis" (Gauthier de Bruges -, d'après : DELHOMMEAU Louis. Églises de Vendée : vocables, titulaires et liste des documents relatifs à leur construction et à leurs travaux du XIe siècle à nos jours. 2000-2001. 2 vol. (224-232 p.) [Arch. dép. Vendée, BIB MEM 615/1-2]). http://www.communes-archives.vendee.fr/commune-saint-martin-des-noyers-234

Sanctus Martinus de Noeriis au XIVè siècle, Sanctus Martinus de Nucariis au XVIè, Saint-Martin-des-Noyers au XVIIè, (Réunion de la paroisse de la Grève avec Saint-Martin-des-Noyers en 1791, dernier baptême le 24 novembre 1790 Henri Grolier fils de René Grolier, registre paroissial arrêté le 30 décembre 1792 par Cacaud maire).

Anciens noms : Morbian (nom révolutionnaire, premier nom), Les Noyers (nom révolutionnaire).

De 1792 à 1796, les actes d’état civil mentionnent Saint-Martin-des-Noyers.

L’an IV le registre d’état civil est ouvert pour la commune de Saint Martin des Nohiers mais les actes mentionnent Saint-Martin-des-Noyers.

L’an V et VI Saint-Martin-des-Noyers est inscrit dans les actes d’état civil.

L’an VII et VIII, l’ouverture du registre mentionne Saint Martin des Nohiers et les actes Martin des Noyers.

L’an IX et X et 1810, on parle de Martin des Noyers et la Grève.

A partir de 1811 on ne précise que Saint-Martin-des-Noyers.(Groupe Mémoire et Patrimoine).


Nom des habitants : Les Martinoyens, les Martinoyennes (prononcer martino-iens, martino-iennes), initié par Pierre Puichaud, adjoint supplémentaire de 1977 à 1983, officialisé sur proposition de Patrice Sorin, adjoint de 1983 à 1989.


Héraldique, Blasonnement :

Taillé : au premier, de sable à l'épée d'argent posée en fasce la pointe vers senestre, supportant un manteau de gueules ; au second, d'or aux trois noyers arrachés de sable, feuillés de sinople et fruités d'argent, mal ordonnés.

Le blason a été étudié par Patrice Sorin, Adjoint, avec l’aide de Maurice Bedon de Chantonnay, spécialiste en recherches héraldiques.