Les réfugiés sur la commune : Différence entre versions
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D’autres réfugiés sont arrivés à St Martin à titre personnel. Camille Billaud et son épouse Denise Parpaillon (témoignage oral du 3 avril 2019) se souviennent de familles accueillies : | D’autres réfugiés sont arrivés à St Martin à titre personnel. Camille Billaud et son épouse Denise Parpaillon (témoignage oral du 3 avril 2019) se souviennent de familles accueillies : | ||
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- Par la mère de Camille qui habitait à la Couaire et a reçu Simone DEMESSANCE dont le mari était prisonnier avec le père de Camille, ainsi que les enfants Demessance: Jacques, Jeannine et Pierre. Ils étaient originaires de TRILPORT près de Meaux. Cette famille a gardé longtemps des contacts avec les Billaud laissant des souvenirs à leur fils Jean-René. | - Par la mère de Camille qui habitait à la Couaire et a reçu Simone DEMESSANCE dont le mari était prisonnier avec le père de Camille, ainsi que les enfants Demessance: Jacques, Jeannine et Pierre. Ils étaient originaires de TRILPORT près de Meaux. Cette famille a gardé longtemps des contacts avec les Billaud laissant des souvenirs à leur fils Jean-René. | ||
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- Famille HUETZ DE LEMPS dont les enfants se prénommaient : Alain l’ainé, Josée une fille, Louis Henri et Christian le dernier. | - Famille HUETZ DE LEMPS dont les enfants se prénommaient : Alain l’ainé, Josée une fille, Louis Henri et Christian le dernier. | ||
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Entre 1940 et 1945 un plan d’évacuation de l’ouest de la Vendée était envisagé en vue d’un débarquement éventuel des Alliés, St Martin devait accueillir la population de Nieul Le Dolent. Fort heureusement, cela n’a pas été nécessaire. | Entre 1940 et 1945 un plan d’évacuation de l’ouest de la Vendée était envisagé en vue d’un débarquement éventuel des Alliés, St Martin devait accueillir la population de Nieul Le Dolent. Fort heureusement, cela n’a pas été nécessaire. | ||
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Version du 16 mai 2020 à 17:28
Les réfugiés durant la guerre 1939 – 1945 à St Martin des Noyers
Quelques familles se sont réfugiées à St Martin pendant la guerre 39/45, soit à titre personnel, soit en vertu d’un plan d’évacuation mis en place par les autorités. Dans ce dernier cas, la Vendée devait accueillir 81 985 Ardennais. Chaque commune de Vendée devait héberger une partie de la population de communes des Ardennes.
Parmi elles, la commune de WARCQ, canton de Mezière comptant 1 254 habitants répartis à : St Martin des Noyers 254 La Ferrière 350 Les Essarts 650 comprenant le conseil municipal Ainsi que la commune de SURY peuplée de 64 habitants répartis à : St Martin des Noyers 46 St Cécile 18 Pour Warcq et Sury, cet exode commencera les 11 et 12 Mai 1940. Les premiers arrivés sur la commune des Essarts seront accueillis le 19 Mai 1940.
Chaque réfugié percevait 10 F quotidiennement plus une indemnité forfaitaire équivalente à 5 jours pour les frais de retour. A noter que les hébergeurs recevaient une indemnité pour loger les réfugiés qui, une fois sur place, devaient se faire identifier dans les mairies d’accueil où une nouvelle carte d‘identité leur était fournie. Source- Doc. Sur WARCQ : l’exode le blog de MARCM : exposition sur les réfugiés des Ardennes à la maison des communes de la Vendée du 24/01/19 Revue spéciale guerre 39-45 n° 44 : les Amis du vieux WARQ
D’autres réfugiés sont arrivés à St Martin à titre personnel. Camille Billaud et son épouse Denise Parpaillon (témoignage oral du 3 avril 2019) se souviennent de familles accueillies :
- Par la mère de Camille qui habitait à la Couaire et a reçu Simone DEMESSANCE dont le mari était prisonnier avec le père de Camille, ainsi que les enfants Demessance: Jacques, Jeannine et Pierre. Ils étaient originaires de TRILPORT près de Meaux. Cette famille a gardé longtemps des contacts avec les Billaud laissant des souvenirs à leur fils Jean-René.
- Par les parents Parpaillon qui habitait la Guignarderie et ont accueilli deux familles : - Famille HUETZ DE LEMPS dont les enfants se prénommaient : Alain l’ainé, Josée une fille, Louis Henri et Christian le dernier. - Famille BRUNET avec 4 enfants placée par le Docteur Debailleul, médecin à St Martin. Une famille Jacquemart a vécu à l’emplacement actuel de l’ancien Crédit Agricole avant de s’installer à la Blaire. Jean Mazuras est également répertorié à la Blaire.
Entre 1940 et 1945 un plan d’évacuation de l’ouest de la Vendée était envisagé en vue d’un débarquement éventuel des Alliés, St Martin devait accueillir la population de Nieul Le Dolent. Fort heureusement, cela n’a pas été nécessaire.
