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Activités économiques à Saint Martin des Noyers

37 403 octets ajoutés, 16 février 2020 à 10:51
Industries à Saint Martin des Noyers
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==Industries à Saint Martin des Noyers==en cours de développement
ACTIVITES ECONOMIQUES DANS NOTRE COMMUNE en 1987 (extraits de bulletins communaux)
 
 
S.A.R.L. BERNARD et Fils - Volailles en gros
 
Entreprise familiale créée par Monsieur et Madame BERNARD Arsène en 1945 devient SARL BERNARD et FILS en 1974.
A la création : abattage, conditionnement et expédition de volailles ; puis élargissement du marché, avec la découpe de volailles (frais et congelé), et une production de « VOLAILLES FERMIERES DE CHALLANS ».
Effectif 1985 : 20 personnes, dont 15 hommes et 5 femmes, 15 résidant à Saint-Martin et 5 à l'extérieur.
Le planning de production est établi avec 6 mois d'avance, en coordination avec les Maisons d'Aliments et les éleveurs. Chaque jour, la Société effectue elle-même le ramassage de ses volailles vivantes.
La SARL BERNARD et FILS commercialise ses produits sur la France en­tière, dans les grandes surfaces, chez les détaillants et les grossistes.
Elle assure elle-même ses livraisons avec ses camions frigorifiques, dans les départements de la VENDEE, LOIRE-ATLANTIQUE et CHARENTE.
Elle fait appel aux Sociétés de transport pour toutes autres destinations.
 
 
Etablissements DEBIEN Alphonse – Centre agréé d’abattage et de conditionnement de volailles, volailles en gros, fraiches, congelées, désossées
 
Les Etablissements DEBIEN fondés en 1923 par Alphonse DEBIEN, le père de l'actuel patron, ont toujours été spécialisés dans la volaille.
Démarrant modestement par l'abattage de quelques poulets collectés dans les fermes de la commune, puis sur les marchés environnants, la Société aborde dans les années 70 un nouveau domaine : le surgelé. Un secteur qui prend très ra­pidement une place importante dans la société. Au point qu'en début 80, on décide de ne faire plus que du surgelé. Aujourd'hui la SA DEBIEN est le N° 1 sur le marché français de la volaille surgelée à sec.
La conséquence de ce choix vers le surgelé a été de se doter d'un équipement de pointe au niveau abattage, conditionnement et surgélation. La production annuelle atteint 9 000 tonnes de produits finis. Parallèlement à l'amélioration de son outil de fabrication, la SA DEBIEN a développé une politique d'intégration de l'ensemble du cycle de production de l'élevage au transport vers les clients.
L'aliment est fourni par Vendée-Aliments où il y a une vingtaine d'employés. A l'abattoir et à l'atelier de découpe travaillent 160 personnes.
La gamme DEBIEN compte tout l'éventail de volailles : Poulets, dindonneaux, pintadeaux, poules, coqs, coquelets et canards (volailles entières et découpées). A noter que les canards sont sous-traités dans des abattoirs voisins.
Marquant sa volonté d'évolution, la S.A. DEBIEN est la première en Vendée qui fabrique depuis cette année de la viande fibrée. Cette matière première sert à l'élaboration des pâtés, saucisses et plats cuisinés.
20 % seulement des produits sont conditionnés sous la marque DEBIEN, l'es­sentiel est fabriqué à la marque des distributeurs. La S.A. DEBIEN travail­le avec les plus grandes sociétés françaises spécialisées dans le surgelé.
Avec ses 160 personnes dont 75 résident à Saint-Martin et 170 MF de chiffre d'affaire, la S.A. DEBIEN contribue largement de façon directe et indirecte au développement de la commune.
 
 
SA POIRAUD Camille Centre de Désossage et de Conditionnement de Volailles
 
Entreprise familiale qui en 1975 devient une S.A. (Société Anonyme). L'activité de l'entreprise est basée sur la découpe de dindes (escalopes, rôtis). Les volailles sont abattues à Chantonnay puis acheminées vers Saint-Martin à l'entreprise. Le développement de cette production de découpe fut rapide grâce à une clientèle connue et une viande peu chère.
La S.A. POIRAUD passe des contrats avec éleveurs et maisons d'ali­ments. Les éleveurs sont à 30, 40, 80 kms de St Martin. Malgré une forte concurrence, l'entreprise joue sur la qualité, la fraîcheur. Elle approvisionne les grandes surfaces (60 %), les grossistes et collectivités (40 %} et rayonne sur l'Ouest, le Sud et la région parisienne.
La S.A. POIRAUD livre 3 fois par semaine dans les grandes surfaces par ses propres camions et tous les jours en région parisienne par des livreurs.
L'entreprise a commencé avec 6 ouvriers en 1973, aujourd'hui, elle emploie 38 personnes, 1/3 femmes, 2/3 hommes. 32 habitent à Saint-Martin et 6 à l'extérieur. . - *
Un vétérinaire attaché aux abattoirs de St Martin effectue des pré­lèvements de viande pour la qualité ; de plus la S.A. POIRAUD envoie à un laboratoire
spécifique à la Rochelle tous les 8 jours pour l'analyse de la viande.
 
 
Ets THOMAS et Fils, Centre d’Abattage, Découpe, et Commercialisation de Volailles
 
L'activité de l'entreprise consiste à l'abattage, la découpe et la commercialisation de la volaille.
Elle a été créée par Monsieur THOMAS Henri en 1946, il travaillait seul avec sa mère. Le ramassage avait lieu dans les fermes et sur les marchés de la région.
Dans les années 1955-1960, avec l'arrivage de l'élevage industriel l'effectif passe à 10 à 12 personnes. Par la suite, lors de la construction du nouvel abattoir en 1978, l'entreprise crée de nouveaux emplois. Actuelle­ment 30 personnes y travaillent : 20 hommes et 10 femmes. 9 salariés résident à l'extérieur de St Martin et 21 habitent la commune.
Les volailles sont destinées à la France entière et un peu à l'ex­portation dans les pays tiers. L'entreprise fournit ;
• 20% de commerces traditionnels.
• 50 % de grossistes.
• 30% de collectivités (cantines et hôpitaux)
Les approvisionnements sont effectués chez des particuliers, les mises en place sont planifiées par les maisons d'aliments avec un prix déter­miné.
Les produits sont livrés par nos soins et par les transports frigorifiques professionnels. Les carcasses sont vendues à des entreprises qui les trans­forment en aliments pour animaux domestiques. Les déchets et les plumes sont enlevés journellement par l'équarrissage.
L'entreprise produit plus de 3000 tonnes de volailles mortes par an.
 
 
BOILARD Michel - Les Pigeons du Grenier
 
Entreprise à caractère familial créée en 1961 par moi-même, passage en société au cours de l'année 1987.
Nous sommes actuellement trois personnes à assurer le ramassage, l'abattage et la mise sous films.
Pour ce qui est de l'alimentation de notre chaîne, celle-ci est approvisionnée à la fois par notre propre élevage et par de nombreux parti­culiers. Nous abattons et expédions 800 pigeons environ par jour. Ces pro­duits étant livrés exclusivement auprès de grossistes dans toute la France et sous peu à l'étranger. Quant aux livraisons, quelle que soit la destina­tion, elles sont assurées uniquement par des sociétés de transports.
 
 
S.A. VENDEE-ALIMENTS, Fabrique d’aliments du bétail
 
Elle fut créée en 1968. C'est une affaire de famille qui s'est créée pour passer du stade artisanal à un développement industriel.
La S.A. Vendée Aliments achète les matières premières : blé, maïs en Vendée et dans les départements limitrophes, et du tourteau à l'étranger. Elle les transforme en aliments pour bétail (70 % aliments volailles et pondeuses et 30 % aliments bovins, vaches laitières, chiens, porcs, lapins) qu'elle revend dans les mêmes départements. La société achète à des coopératives par l'intermédiaire d'un courtier et aussi à des marchands de grains.
Les marchandises sont acheminées en vrac jusqu'à Saint Martin et redis­tribuées en vrac sauf pour les petits clients (livraisons par sacs). La S.A. Vendée Aliments prend ses livraisons en provenance de l’étranger aux ports du Montoir, la Pallice, Lorient, Bordeaux. Elle importe du tourteau de soja en provenance du Chili, du Brésil et de la farine de poisson en provenance de la Norvège et du Danemark). A Benet, elle achète de la farine de viande (usine d'équarrissage).
Des techniciens étudient des mélanges de différentes farines et l'adaptent pour chaque animal.
La S.A. Vendée Aliments travaille avec les éleveurs, ceux-ci passent commande par téléphone, par télex.
Elle emploie 19 personnes dont 13 de Saint Martin et 6 de l'extérieur. La S.A. Vendée Aliments s'est automatisée. Elle ne cesse d'améliorer les rendements et la qualité par l'installation de nouvelles techniques.
 
 
CARRE S.A., Construction de matériel agricole
 
1- FICHE D'IDENTITE
• Société Anonyme au capital de 250 000 F
• Construction de matériel agricole
• PDG : CARRE Antoine - Principaux associés : CARRE Eloi et Rémi
• Effectif : 30 personnes
• Chiffre d'affaire : 10 Millions de Francs en 1987 dont 7 % à l'exportation
2- HISTORIQUE DE L'ENTREPRISE
1939 : Fondation par Mr CARRE Camille pour la fabrication et la vente de repiqueuses de choux et betteraves
1945 : Reprise des activités après la guerre avec 2 employés. Fabrication et vente de planteuses, puis d'outils à dents
1969 : Lancement d'une nouvelle machine pour la récolte des betteraves fourragères. Passage de l'effectif à 10 salariés. Elargissement-de la clientèle au plan national.
1980 : Réalisation d'un matériel d'arrachage- de haricots secs. Effectif : 18 salariés. Marché désormais ouvert sur l'étranger.
 
3- L'ENTREPRISE EN 1988
a) Ce qu'elle fabrique
- matériel pour la récolte des betteraves fourragères
- matériel pour la récolte des légumes à racines (carottes, betteraves rouge)
- matériel pour l'arrachage des haricots secs
- matériel pour 1s préparation du sol (cultivateurs, vibroculteurs etc.)
- matériel pour plantation et binage (planteuse, bineuse)
- matériel de manutention (bennes relevages avant, fourches à ensilage)
- sous-traitance à la demande
,
b) Le personnel qui y travaille
• 3 femmes et 27 hommes plus des VRP multicartes
• 14 salariés habitent St Martin dont 2 s'y sont installés pour le travail
• 16 salariés viennent de l'extérieur dont 3 habitent St Martin la semaine et 1 va s'y installer prochainement
 
c) Ses fournisseurs -
La matière première et les fournitures viennent de toute la France et même de Belgique et de RFA pour certaines fournitures spécifiques
 
d) Ses clients.
- en Vendée : les agriculteurs et les revendeurs
• le reste de la France : les revendeurs de matériel agricole
• à l'étranger : des importateurs.
 
Depuis son ouverture sur l'étranger, l'entreprise a vendu :
• des récolteuses de haricots : Tchécoslovaquie, Venezuela, Espagne, Italie et Nouvelle-Calédonie
• des récolteuses de betteraves Suisse, RFA, Pays Bas, Gde Bretagne
• des récolteuses de légumes : Irlande, Portugal
• des bineuses : Algérie, RFA
• relevages, rouleaux à spires : Suisse, Belgique
 
e) Sa politique commerciale
L'entreprise se fait connaître :
- En France
• Par le Salon de la Machine Agricole à Paris et autres foires
• Par la publicité dans les journaux agricoles
* Par la prospection de ses représentants
• 2 exclusifs pour le Grand Ouest
• des VRP multicartes pour le reste de la France
 
- A l'étranger
* L'entreprise adhère à une association d'exportateurs de Machines agricoles de l'Ouest de la France : le MARPEX, Elle se fait connaître par elle à l'étranger
* L'entreprise a en association avec d'autres constructeurs Français
• 1 représentant pour l'Espagne et le Portugal
• 1 représentant pour la RFA
 
4) L'AVENIR
L'entreprise mise sur l'avenir puisqu'elle est en train d'investir dans l'agrandissement de ses ateliers et bureaux dans la ZA des Fours. Les surfaces vont être triplées.
Le nouvel atelier sera opérationnel courant février.
Les bureaux seront aménagés, en avril,
*Les Objectifs : ouverture renforcée sur l'étranger surtout vers l'Europe objectif 1992
Elargissement de la gamme et mise sur le marché de produits nouveaux Progression de la qualité et de la technicité des produits.
 
 
AMIAUD PÊCHE, Fabrique d'articles métalliques de pêche
 
L’envie pour Mr et Mme AMIAUD qui habitent Sainte Cécile de créer une entreprise se réalise en 1971. Ils démarrent à St Martin avec les moyens du bord et décident de s'orienter sur la fabrication d'accessoires en métal plus particulièrement destinés à la pêche loisirs, quelques petits travaux.de serrurerie permettront de grossir le chiffre d'affaires.
En 1975, 1’orientation est prise, un atelier de 400 m2 est construit qui permettra de travailler dans de meilleures conditions. En 1980, l'entreprise deviendra SARL et en 1986 doublera sa surface en atelier.
Actuellement la Société emploie 9 personnes dont une femme, 8 résident à Saint-Martin et 4 à l'extérieur.
Nos matières premières et nos différents composants' sont approvisionnés sur la région nantaise et banlieue parisienne avec quelques produits achetés dans les pays voisins.
Nous fabriquons actuellement 400 produits différents sur catalogue destinés aux revendeurs détaillants, grossistes, centrales l'achat pour la pêche rivière et mer, les piscicultures, les étangs, les professionnels (470 000 articles vendus en 1987).
Nous commercialisons nos produits avec une équipe de 10 représentants multicartes qui prospectent sur la France et les pays des DOM-TOM. Malgré quelques clients en Europe et en Afrique, l'export reste à développer. La compétition devient difficile à l'étranger et même sur les marchés français avec les importations des pays du Moyen-Orient.
A l'avenir nous continuerons à jouer sur le service et la qualité de nos produits rigoureusement pour préparer 1992.
 
 
S.A. ATELIER DU CHOUAN, Fabrique de Meubles
 
La S.A. ATELIER DU CHOUAN est une société spécialisée dans la fa­brication de meubles massifs à 100 % dans les essences Chêne, Merisier et Noyer.
La société a repris, en octobre 1984, les activités de la Socié­té MEUBLES D'ART MV qui avait dû déposer son bilan en juillet 1984.
Sur les 21 salariés que compte actuellement l'entreprise, 15 d'entre eux sont actionnaires. Le personnel se compose de 4 femmes (dont 1 à temps partiel) et 17 hommes, plus des représentants. 12 de ses salariés habitent à Saint Martin. De plus, la Société fait travailler de nombreux sous-traitant : panneaux, tournage, sculpture...
Certaines matières premières sont achetées en France comme le Chêne, le Noyer, la quincaillerie. D'autres sont importées : Merisier d'Amérique, vernis...
Pour diffuser ses produits, la S.A. ATELIER DU CHOUAN dispose d'un réseau commercial composé d'un représentant exclusif et de 7 VRP multicarte. Ces représentants prospectent toute la France. La Société exporte un peu en Belgique et démarche actuellement pour travailler avec la R.F.A.
Ses clients sont des négociants traditionnels chez qui s'adressent les particuliers recherchant des meubles de styles "haut de gamme".
La conjoncture économique actuelle, particulièrement difficile dans le secteur de l'ameublement, oblige l'entreprise à une certaine vigi­lance. Pour faire face à ces difficultés, il faut en permanence créer des nouveaux modèles afin de s'adapter, le mieux possible, au marché.
 
 
TUILERIE - BRIQUETERIE NAULEAU
 
Entreprise familiale retransmise depuis plusieurs générations (1929). Société de fait NAULEAU Roger et Claude en 1970, 4 salariés, S.A.R.L. en 1980, elle en compte actuellement 8, dont 6 de St Martin et 2 des Essarts.
L'argile, matière première des tuiles et briques est extraite des carrières de la Barre. Depuis 1976, nous lui ajoutons du "bri"(25%), en provenance du marais poitevin. 100 M3 par mois de cette terre d'alluvion nous est livrée par semi-remorque.
Le mélange obtenu, après diverses opérations de broyage, concassage, mouillage finit sa course dans une mouleuse à vide d'air. Le matériau choisi est déterminé par la pose d'une "filière" (sorte de moule), puis découpé automatiquement. Il est ensuite mis au séchoir avant la dernière opération qui est la cuisson.
Le grand four toujours en service, parce que restauré plusieurs fois, date de la créa­tion de la tuilerie en 1855. 30 Heures à 900° de température finale sont nécessaires à sa cuisson. Celle-ci est obtenue par la combustion du fuel lourd N°2 (30 tonnes par mois), après un préchauffage au bois (déchets industriels). En 1973, un second four fût construit, plus petit, (16 h de cuisson). Puis en 1982 un nouveau four où les matériaux sont entreposés sur wagonnets. Le chargement et le déchargement se font hors du four, c'est un confort par rapport aux deux précédents dont la chaleur en été est parfois incommodante.
Notre principale production est la brique plâtrière (75 %), qui sert à la fabrication des cloisons et du doublage. Sept différents modèles existent, chacun pour une vocation détermi­née. Nous ajoutons à cela une petite production de briques pleines, brutes ou pressées, et des drains pour entreposer les bouteilles.
Le reste de notre production est la tuile canal, dit " tige de botte", vieille comme la Vendée. Et depuis 1985, la Canal sup avec son Brevet d'invention et son système à inter-verrouillage. Pas facile d'imposer sur le marché un principe qui n'ait pas déjà été employé ! Le fond plat, grâce à ses tenons, évite le glissement, et pour les granges à forte déclivité, il est très performant. La récupération de la tuile de l'ancienne toiture en diminue le coût, et quoi de plus beau dans la nature que ces toits remaniés avec des tuiles vieillies, aux tons rosés et rouges.
Malgré la forte crise du bâtiment, l'entreprise a maintenu ses effectifs. Les matériaux qui autrefois étaient vendus dans un rayon de 30 Kms, sont maintenant en grande partie dirigés vers la côte. Les livraisons sont assurées par Mr Nauleau Roger, qui s'occupe par là même de la prospection. La concurrence est très vive mais nous gardons la moral et comptons mettre en service pour le début de l'hiver un four à rétracter qui permettra le houssage des palettes, et sera une protection contre les intempéries.
 
 
VOYAGES BARRETEAU
 
Créée en 1969 à l'aide d’une voiture, cette entreprise emploie actuellement 7 personnes (6 hommes et 1 femme) dont 6 résident à St Martin, et compte 12 véhi­cules se répartissant comme suit :
• 7 Autocars
• 3 Voitures Taxis
• 1 VSl (véhicule sanitaire léger)
• 1 Ambulance
Son chiffre d'affaires se répartit en trois activités qui sont :
1) LES EXCURSIONS ; avec près de 50% du chiffre d'affaires, elles occupent une place prépondérante dans l'entreprise, surtout depuis ces dernières années.
La clientèle se situe à St Martin et dans les communes voisines, mais aussi dans les régions de la Rochelle, Rochefort, Nantes, voire Paris.
2) LES TRANSPORTS SCOLAIRES : ils représentent aujourd'hui $0% du chiffre d'affaires et ont lieu essentiellement au départ d'écoles de Vendée.
3) LB TAXI AMBULANCE avec 20% du chiffre d'affaires cette activité fait principalement appel à une clientèle de St Martin et des communes voisines.
Sa situation reste précaire en raison des difficultés financières de la sécurité sociale dont nous dépendons pour la majorité des remboursements.
En conclusion, notre principal objectif est de développer l'activité touris­tique sans négliger pour autant les deux autres domaines.
 
 
S.A. BIBARD Daniel, Fabrique de remorques
 
1970 - début activité de ferronnerie intérieure et extérieure.
1972 - Construction du 1er atelier (fabrication d'éléments plus importante)
1978 - Début de fabrication de remorques.
1982 - Passage entreprise individuelle en Société Anonyme.
La S.A. BIBARD fabrique des remorques routières de 300 à 3500 kg (sur mesure, à la demande de la clientèle). Elle emploie actuelle 7 personnes dont une femme (à l'origine, deux personnes), et des personnes pour la sous-traitance des pièces mécaniques, galvanisation et livraisons.
La S.A. BIBARD vend aux particuliers (ventes directes) : 20 %, garagistes : 15 % et agents exclusifs : 65 %.
La publicité se fait par prospectus, journaux et de bouche à oreille. Un bureau d'étude pour le dessin a été créé en 1987. M. Bibard reste optimiste pour l'avenir de son entreprise.
 
 
ETABLISSEMENTS BOISSELEAU Paul, Grains – Engrais - Produits phytosanitaires
 
Les établissements BOISSELEAU, rue René Couzinet, à Saint-Martin depuis 1933, ont pour activité la collecte et le stockage de céréales, oléagineux et légumes secs (la totalité des oléagineux étant exportée ainsi que la plus grande partie des céréales).
Ils assurent l'approvisionnement de l'agriculture en engrais, semences et produits phytosanitaires de la grande culture au jardin, la distribution de fuel domestique et agricole. Ils disposent d'un certificat de transports publics actuellement inexploité.
Tous les transports, benne et plateau, sont effectués par des entreprises spécialisées.
L'évolution des méthodes de travail depuis 15 ans a été importante, puisque de la manutention entièrement manuelle d'autrefois on est passé à la palet­tisation et aux sacs de 500 kg. Dès 1980 parmi les premières de la Région, l'entreprise s'équipe d'une remorque épandeuse d'engrais qui met la dis­tribution vrac au service de toutes les exploitations agricoles de la plus petite à la plus importante. Avec l'installation d'un pont-bascule en 1983 le vrac s'étend aux aliments du bétail. L'évolution des marchés agricoles au sein de ; la Communauté Européenne et l'incertitude des marchés internationaux, d'approvisionnement font des entreprises de négoce des auxiliaires précieux pour l'agriculture de, demain.
 
 
PICARD Roger – Grains – Engrais – Produits de traitement
 
Entreprise familiale créée en I960 : ayant pour activités, la vente des produits agricoles et des produits nécessaires à l'agriculture : engrais, produits divers de traitements, graines, semences céréales, maïs, tournesols et autres, alimentation du bétail, ainsi que du charbon.
L'approvisionnement en engrais se fait directement aux usines à production, soit en sacs de 50 kilos ou de 500 kilos, soit en vrac ; ce qui permet à l'agriculteur de choisir sa façon d'épandage ; l'entreprise pos­sède un semoir d'épandage en vrac, qu'elle tient à la disposition de ses clients.
Les produits de traitements sont très variés pour 1'agriculture que ce soit en désherbants, insecticides, fongicides, et pour les besoins la petite culture, jardins, vignes, il existe une autre gamme de produits.
Les céréales blés et maïs sont réceptionnés en vrac, stockés dans des silos et vendus 20 % à l'intérieur, et 80 % à l'exportation.
L'entreprise assure un service de livraison à la ferme avec des caissons pour livraisons en vrac ou en sacs, ces caissons réceptionnent également les céréales de la ferme aux magasins de stockage. Un autre camion équipé avec des vis sert à livrer les aliments du bétail dans les cellules chez l'exploitant.
 
 
MINOTERIE GILBERT René – Le Moulin de L’Hommelet
 
D'un moulin à vent, il fut transformé en 1914. Monsieur GILBERT achète le blé chez des marchands de grains qui le livrent en vrac au Moulin. Le passage du blé à la farine se fait en plusieurs étapes. Avant de moudre le blé, il faut le ramener à un taux d'humidité à 16 %. Puis le blé est nettoyé (on enlève les pierres), ventilé (on enlève les balles), gratté (on enlève la 1ère peau). Le blé repose 48 heures en boisseau avant la mouture (il faut que 1 'humidité aille au cœur du grain)
Re-nettoyage, puis broyage (4 fois) en alternance avec le passage dans le plansichter (complexe de tamis qui retrie et redistribue les différentes qualités de marchandises sur les cylindres et le tamis. A la fin, il en ressort de la farine, du son (divers sons), du petit blé.
Ces deux derniers sont acheminés vers la S.A. Vendée Aliments. Quant à la farine, elle est livrée chez les boulangers de la région. Au Moulin de l'Hommelet, on ne fabrique que de la farine type SS réservée à la boulangerie. Malgré sa dimension, le moulin demeure per­formant puisque 4 500 quintaux de farines en sortent par an.
 
 
Garage BONNAMY Jean-Louis
 
M. BONNAMY a succédé à MM HERMOUET-NAULEAU le 1er octobre 1985.
Outre la vente de véhicules neufs ou d'occasion, il procède à la réparation de voitures, tracteurs, camions etc. avec l'aide de deux ouvriers, son épouse assurant le secrétariat et la comptabilité.
Le garage est ouvert tous les jours sauf le samedi après-midi.
 
 
Garage HERAUD Gilles
 
En 1969, installation dans une grange aux "Chapelles", situation provisoire qui dure 2 ans.
1971, construction du premier atelier, route de la Roche-sur-Yon 1977, la surface de l'atelier est doublée et un parking en sous-sol est amé­nagé.
1980, l'entreprise devient SARL. Elle compte aujourd'hui 10 salariés dont 2 femmes. Le garage HERAUD s'est orienté vers le marché de l'occasion. A l'atelier de mécanique s'ajoute celui de tôlerie-peinture. Le garage est ouvert tous les jours sauf le lundi matin.
 
 
Garage RIPAUD Francis
 
Mr Francis RIPAUD a créé son activité de ventes et réparations de motoculture de plaisance, cycles et voitures d'occasion en novembre 1985. Après avoir commencé avec les moyens du bord, dans le sous-sol de son habitation, la construction de son nouvel atelier a été possible en 1987.
Depuis sa nouvelle installation, la vente et réparation de voitures d'occasion en plus de la motoculture et du cycle a pris un véritable essor, ce qui lui a per mis l'embauche d'un salarié.
L'approvisionnement de petit matériel et pièces détachées est fait chez les concessionnaires de Vendée. Mais pour la recherche des voitures d'occasion, il faut que Mr RIPAUD se déplace vers la capitale (ou autres...) en plus des revendeurs régionaux.
La vente se fait beaucoup par relation et par annonces dans la presse.
Mr RIPAUD reste optimiste pour l'avenir de son entreprise, car sa clientèle locale et des communes voisines augmente. Le marché de la voiture d'occasion et de la motoculture semble actuellement favorable.
 
 
GUILBAUD André, Soudeur
 
Depuis 1986, M. GUILBAUD fait de la sous-traitance en soudure pour des entreprises mais son activité principale (80 %) reste le montage, l'installation et le suivi en entretien, réparation des chaînes dans les élevages avicoles.
Il travaille seulement sur la Vendée. Il démarche pour lui-même. Ses fournisseurs se trouvent essentiellement en Bretagne ; tout matériel acheté est hollandais (pas de matériel français pour ce genre de travail).
Pour M. GUILBAUD, l'avenir avec l'ouverture des frontières en Europe (1992) le laisse optimiste puisque l'Ouest de la France reste une région où le climat est le plus favorable pour construire des élevages avicoles.
 
 
NAULEAU René, Forgeron
 
Depuis 1967, M. NAULEAU travaille le fer. Au premier avril 1988, il créera la S.A.R.L. NAULEAU Père et Fils. Monteurs, techniciens en abattoirs de volailles, ils travaillent en régie. Ce sont des entre­prises étrangères qui leur font appel pour la pose, la mise en place, l'entretien des chaînes et de tout le matériel nécessaire dans un abat­toir de volailles. Les déplacements s'effectuent dans toute la France et essentiellement le week-end ou la nuit (pendant l'arrêt des chaînes). Peu de concurrence pour ce marché, donc un avenir certain pour ce genre de travail.
 
 
NICOLLEAU Armand, Vente de matériels neufs et occasion
 
Depuis 1965, M. NICOLLEAU vend du matériel neuf, des occa­sions en machines et outils.
Il s'approvisionne beaucoup en région parisienne et revend aux entreprises et à quelques particuliers. Monsieur NICOLLEAU travaille à la demande : vente de moteurs, fraiseuses, tours, perceuses ...
Sa publicité se faisant de " bouches à oreilles". Les clients viennent de Vendée et des départements limitrophes : Maine et Loire, Loire-Atlantique, Deux-Sèvres, Charente-Maritime.
Afin d'améliorer son entreprise et d'offrir une gamme de services à ses clients, Monsieur NICOLLEAU s'oriente vers l'entretien du matériel dans les entreprises.
 
 
BIRONNEAU Geneviève, Tapissière d’ameublement
 
Tapissière d'ameublement, couture, décor depuis 1984, je confectionne des doubles rideaux, voilages, dessus de lits, coussins, tables juponnées et remets à neuf les salons. Je travaille principalement en sous-traitance pour des tapissiers décorateurs de Vendée (La Roche-sur-roc, Luçon) et également pour des particuliers.
J'envisage de changer d'atelier, pour un local mieux adapté, afin de développer ma clientèle.
 
 
BRIEAU Claude, Menuisier-Ebéniste
 
Après avoir connu plusieurs fois le chômage. Monsieur BRIEAU décide en Mars 1985 de créer sa propre entreprise de menuiserie-ébénisterie. II a débuté dans un local de 40 m2, mais sa clientèle s'étant accrue, il est actuellement en travaux d'agrandissement.
Depuis trois ans, son activité principale reste tout de même la prestation de service, car de plus en plus, les clients souhaitent acheter leurs matières premières.
 
 
SARL GERMOND et Fils
 
Elle s'efforce depuis 1985 d'apporter ses compétences à sa clientèle dans la restauration des meubles anciens, souvent, héritage de nos an­cêtres; qu'ils soient du début du siècle ou des siècles plus reculés comme le XVIIème ou le XVIIIème.
Le remplacement des pieds vermoulus ou des marqueteries disparues, une corniche refaite et ces meubles retrouvent tout leur charme d'autrefois. De plus, il est toujours possible d'y ajouter un complément en faisant une copie personnalisée et assortie à vos cabinets vendéens, armoires, pendules comtoises, chaises, etc... N'hésitez pas à venir lui demander conseil !...
 
 
Boulangerie BONNIN
 
Installé depuis 25 ans à Saint-Martin, M. Joseph BONNIN avait formé 13 apprentis dont un, médaille d'or). Au 1er janvier 1989 son fils Jean-Christophe lui succédera.
La campagne est desservie par le portage effectué par une personne à rai­son d'une tournée par jour. En période normale la fabrication de 300 pains néces­site 100 kg de farine.
A raison de 35 mn de cuisson par fournée, le boulanger se lève vers 4 heures pour terminer à 8 heures. Il lui faut ensuite préparer de la pâte à pain pour le lendemain, la diviser et la façonner avant de la stocker en chambre froide.
M. BONNIN élargit la gamme de pain (pain de campagne, pains spéciaux) et pense développer la pâtisserie.
 
 
Boulangerie DELAVAUD
 
Installés depuis 1937, Mr et Mme ROGER Emile firent valoir leurs droits à la retraite le 1er septembre 1971 date à laquelle Mr et Mme DELAVAUD Claude prirent succession.
Travaillant seuls au début de leur activité, ils emploient à l'heure actuelle deux salariés, un apprenti à temps complet, plus une personne à temps partiel. Ils fabriquent diverses catégories de pain (pain blanc, campagne, complet, son, seigle). La viennoiserie et la pâtisserie dont la brioche vendéenne complètent l’activité. La qualité de nos produits nous assure un avenir certain malgré la concurrence de certaines entreprises alimentaires.
 
 
CAILLETEAU Joël, Dépannage Télé - Ménager, Peinture - Papiers Peints
 
Mr et Mme CAILLETEAU sont installés dans la commune de St Martin-des-Noyers depuis 1973. C'est en 1983 qu'ils ont décidé de faire construire, rue de l'Aubépine. L'activité actuelle se divise en deux parties : le magasin avec un rayon de pein­ture, papiers peints, cadeaux, encadrements, radio, électroménager, location de matériel de nettoyage à sec de moquette, tenu plus principalement par Mme CAILLETEAU. Dans la partie artisanale M. CAILLETEAU s'occupe de réparation de télé, radio, petit et gros électroménager, antennes, etc. Cette activité s'exerce dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres.
Le magasin actuel étant trop petit pour présenter de la télé et du gros électroménager, un projet d'agrandissement est en train de voir le jour afin de dé­velopper cette vente.
 
 
BAUDRY Jean-François, Café " LE TROQUET "
 
M. BAUDRY Jean-François travaille comme salarié pendant un an et demi. Puis en 1980, il achète le café. Il étend son activité à la restaura­tion :
• Traiteur pour ceux qui le désirent avec livraison à domicile des plats commandés.
• Traiteur pour noces, banquets, repas de famille.
• Restaurant ouvert le samedi soir et le dimanche soir (dégustation de crêpes, galettes et autres.)
En plus de ces activités, il est dépositaire pour le loto national. Le café est le siège du club de billard anglais.
 
 
VERDEAU Arlette, Café-Restaurant
 
Depuis 1967, Mme VERDEAU exploite le café-restaurant, c'est en 1976 que l'entreprise est devenue une affaire familiale avec Mr VERDEAU et leur fille.
Il est servi entre 30 et 40 repas journaliers ouvriers. Nous assurons égale­ment les banquets de classe et repas de famille sur commande. Le Café est ouvert 7 jours sur 7 avec seulement le lundi après-midi de fermeture.
 
 
BOSSARD René, Commerce de Tabacs-Journaux-Revues
 
Le 1er février 1959, Mr et Mme BOSSARD prennent la suite de Mr SEILLIER comme débitant de tabacs et recette des Impôts dans un local provi­soire chez M. SIRE Séraphin face à la mairie.
Le 6 janvier I960, ce commerce est transféré sur le lieu actuel, rue de l'Eglise. Le commerce existe toujours, tabacs, journaux, revues ainsi que la recette auxiliaire des impôts (la régie), cela depuis 30 ans.
 
 
LHOMMEDE Paul, la Brenauderie
 
Ayant connu plusieurs fois des périodes d'inactivité, je décide à ce jour de créer mon entreprise, diffuser des articles personnalisés au­près des entreprises. Comités d'entreprises, associations, clubs, sponsors, particuliers etc...
Les produits : Des tee-shirts, sweat-shirts, joggings, sacs coton, bobs ...
• la personnalisation : prénom, chiffres, lettres, clichés spéciaux, logos, sigles etc... ainsi qu'un choix important de motifs originaux (enfants, humoristiques, sportifs, groupes variétés, etc...)
• Je diffuse également des produits ménagers, d'hygiène et de soins, etc...
• Je négocie actuellement avec un fournisseur pour diffuser des articles en photos émaillées et je pense pouvoir les présenter à la clientèle d'ici quelques semaines.
Pour l'ensemble des produits, je propose des réalisations ou diffusions immédiates ou dans des délais courts. Je recherche la meilleure qualité et propose une garantie sur les produits. Je travaille actuellement à la Brenauderie, mon activité s'étend à la Vendée voire les départements limitrophes.
Travaillant beaucoup par prospection, je suis souvent en déplacement, les personnes désirant me voir sont invitées à prendre un contact téléphonique afin de leur éviter un déplacement inutile.
Pour toutes démarches, vous pouvez me contacter jusqu'à 21 heures 30 ainsi que le dimanche matin.
 
 
COIF "DOMI"
 
Arrivée en novembre 1979, "et oui, presque dix ans déjà" et étant à l'étroit pendant plus de trois ans j'ai donc transféré le salon en mars 1983 où j'exerce actuellement avec une ouvrière et une apprentie.
La coiffure étant un artisanat et une mode qui demande toujours à être remis en question, j'ai pensé qu'il était bon d'innover. C'est pourquoi depuis quelques mois l'ordinateur a fait apparition dans le salon et a séduit une bonne partie de la clientèle en permanente.
Pour un service plus, je pense mettre sur pieds dans les jours à venir une gamme complète de soins capillaires contrôlé par l'or­dinateur.
 
 
RAMBAUD René, Coiffeur Hommes - Naturaliste
 
Installé depuis le 2 Janvier 1980, j'entame ma dixième an­née dans notre commune en qualité de Naturaliste et de Coiffeur Hommes. Deux activités bien différentes mais tout de même conciliables.
La naturalisation étant mon activité principale, je commen­cerai donc par celle-ci.
Du moineau au sanglier, je naturalise 150 à 200 animaux par an et je tiens à votre disposition un dépôt pour le tannage des peaux de toute sorte, sauvage ou domestique qu'un artisan tanneur réalisera dans un délai de deux mois.
Fils et petit-fils de coiffeur, je ne pouvais échapper à ma destinée. C'est pourquoi je me fais un plaisir de vous recevoir les mercredis, vendredis et samedis de 8 h 30 à 20 h dans mon salon de coif­fure. Il est souhaitable de prendre rendez-vous afin de mieux organiser les journées pour vous servir plus rapidement.
Je profite de mon passage dans le bulletin communal pour remercier les gens qui m'ont fait confiance jusqu'à présent tant en taxi­dermie qu'en coiffure.
 
 
JOLLY Michel, Transporteur de presse
 
Afin de recevoir vos journaux Ouest-France, Presse Océan, ou l'Eclair tous les matins il vous faut des transporteurs, transporteurs ma­tinaux à la réception des journaux à la Roche-sur-Yon, Place du Sully, à 2 heures du matin.
Les transporteurs sont au nombre de huit pour la Vendée. J'exerce ce travail depuis 1978, la tournée s'oriente dans la région Sud-Vendée et je livre quarante-deux communes pour terminer mes livraisons vers 8 h 30 du matin, heure variable suivant l'arrivée du camion en provenance de Rennes.
Les dépositaires de notre commune sont livrés par le relais de Saint-Prouant.
==Foires et Marchés à Saint Martin des Noyers==
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