Par conséquent la plaque tournante scientifique, que j’ai animée durant vingt cinq ans, n’a pu fonctionner correctement que dans la mesure où l'ethnomusicologue, souvent en position d’être le premier gestionnaire et l'initiateur de ces recherches, a su concilier les impératifs scientifiques de l'objet musical, avec les contraintes budgétaires et personnelles inhérentes aux chercheurs qu'il implique.
Là est sûrement le nœud gordien de ce type de recherches qui souffre encore énormément d’importants carcans qui freinent l'activité et la bonne volonté scientifique de chercheurs pourtant passionnés. Ils empêchent le plus souvent une authentique coopération qui porterait sur des objets communs au profit de la récupération d'une discipline par une autre, en l'occurrence de la musicologie par la linguistique et réciproquement.
==publications Publications collectives==
Le début de cette ambitieuse recherche collective avait notamment et plus officiellement été insérée, davantage dans un ensemble assez large, et donc par le LACITO-CNRS en 2004, lors de la publication d’un important ouvrage :
"Du terrain au cognitif Linguistique, Ethnolinguistique", Ethnosciences en Hommage à Jacqueline M.C. Thomas Petters,