Sur le site : PHOTOGUSTE.COM, on peut voir des photos du relais de la Brenauderie , d'Esther et la famille Robert et des domestiques (AI008,J001, AA009, W004)
{{Palette Saint-Martin-Des-Noyers}}
==La Garmitière==
30, Rue de la Garmitière
On ne peut manquer cette demeure de caractère. Elle a fière allure avec son toit d'ardoises et ses pierres de taille aux encadrements de fenêtres, aux arêtes et à la corniche. La partie centrale de la façade est en léger décrochement. Elle est agrémentée d'un linteau sculpté au-dessus de la porte d'entrée et, dépassant du toit, d'un fronton sur lequel on peut lire :1912 C.R., initiales des propriétaires.
En 1912, Emmanuel Cornu et son épouse Marie Robert. propriétaires exploitants, font construire cette maison. Ils n'ont pas eu d'enfants, mais ont élevé trois neveux. Ceux-ci appelaient la maison «le petit château»; cependant... ils devaient de temps en temps en cirer les parquets. Devenue veuve, Mme Cornu n'a plus voulu y vivre seule, alors elle vendit la maison vers 1936.
==La GarmitièreRue des Ormeaux n° 29==30« Le Logis de la Mission » La propriété Rouillon, Rue située à l'embranchement de la route de Saint Hilaire-le-Vouhis et de la Garmitièreroute de Bournezeau, est entourée d'un mur surmonté d'une grille.
On ne peut manquer cette demeure de caractère. Elle a fière allure avec son toit dDeux imposants pilastres, dans l'ardoises et ses pierres de taille aux encadrements de fenêtresangle, aux arêtes et à soutiennent la corniche. La partie centrale de la façade est en léger décrochement. Elle est agrémentée d'un linteau sculpté au-dessus de la porte grille d'entrée et, dépassant du toit. Et là, d'un fronton sur lequel on peut lire se rappelle que ce lieu fut une halte lors de processions organisées à l’occasion de fêtes religieuses :1912 C.R., initiales des propriétairesMission et reposoir de la Fête-Dieu.
En 1912, Emmanuel Cornu et son épouse Marie Robert. propriétaires exploitants, font construire cette maison. Ils n'ont pas eu d'enfants, mais ont élevé trois neveux. Ceux-ci appelaient la maison «le petit château»; cependant... ils devaient de temps Si ces fêtes sont tombées en temps en cirer désuétude depuis les parquets. Devenue veuveannées 60, Mme Cornu nles paroissiens se souviennent encore de l'a plus voulu y vivre seule, alors elle vendit appellation «Le Logis de la maison vers 1936Mission».
Après avoir traversé le parc, on découvre une grande maison. Elle comprend un rez-de-chaussée et un étage, dont les ouvertures sont garnies de pierre de taille. Le toit est recouvert d'ardoises et compte quatre hautes cheminées de briques. Une construction plus basse jouxte le corps principal, prolongée par des dépendances.
{{Palette Saint-Martin-Des-Noyers}}Ce château est construit en 1830 par la famille Cacaud, une famille de notables dont certains membres sont notaires, maires...
==Quartier En 1895, Hélène Cacaud épouse Désiré Rouillon, né à la Fauconnière, conseiller d'arrondissement. Ils résident ici avec leurs enfants dont nous retiendrons : Charles, né en 1899 et Adrien né en 1903.Puis le château est loué de La Croix des Baux==1911 à 1926 environ à un médecin, le Docteur Constant Delaire. Durant cette période, le château devient «La maison du Docteur».
===393En 1931, Rue René Couzinet===Adrien Rouillon épouse Edmonde Cacaud. Il est ingénieur des Arts et Manufactures, directeur EDF à la Roche-sur-Yon. Le couple s'installe au château et aura cinq enfants. Adrien décède accidentellement en 1955.Un de ses enfants, médecin, hérite de la propriété et y réside jusqu'à son décès en 2020. L'un de ses fils est l'actuel propriétaire.
Construite en 1913, «Mon Rêve» est une jolie petite maison avec ardoises et pierres de taille. Légèrement surélevée, un perron permet d'accéder à deux portes(Utiliser le lien raddo-ethnodoc. Entre la corniche et la cimaise, un enduit imitant la pierre a été projeté sur toute la longueur de la façade où le nom com pour voir les cartes postales anciennes de la cette maison est gravé. Des initiales F : séries 6, 7 et R sont sculptées sur le linteau de la porte centrale8.)
C'était la maison de Louis Fruchard Document d’origine précisant les prénoms des enfants dont certains sont vivants: En 1931, Adrien Rouillon épouse Edmonde Cacaud. Il est ingénieur des Arts et Eugénie RabaudManufactures, gendarme directeur EDF à la Roche-sur-Yon. Le couple s'installe au château et propriétaireaura cinq enfants. Adrien décède accidentellement en 1955. Sans postéritéC'est Jacques, médecin, ils en ont fait don par testament à leur neveu qui hérite de la propriété et filleul Henri Fruchard, y réside jusqu'à condition son décès en 2020. L'un de prendre soin dses fils est l'Eugénie si un jour elle restait seuleactuel propriétaire.
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==Quartier de L'Ouillette==
===321, Rue de l’Ouillette===
Célestin Roger et Marie-Adèle Jaulin, son épouse, étaient propriétaires exploitants à I'Ouillette. Erudit, Célestin aime beaucoup lire et il possède même une bibliothèque, fait rare à cette époque à la campagne, Un jour, il entreprend ==Quartier de construire lui-même une maison dans le jardin attenant à la ferme. Il procède à l'élaboration du plan puis à la fabrication de la maquette du toit en bois.La Croix des Baux==
Plusieurs tours à la carrière des Lombardières seront nécessaires pour transporter des pierres dans sa charrette tirée par deux vaches. Pour réussir son oeuvre===393, il sollicite les maçons Gilbert pour leurs conseils. Les travaux s'achèvent en 1928.Rue René Couzinet===
Le style Construite en 1913, «Mon Rêve» est une jolie petite maison avec ardoises et pierres de cette maison se révèle très originaltaille. Les matériaux utilisés sont essentiellement lLégèrement surélevée, un perron permet d'ardoiseaccéder à deux portes. Entre la corniche et la cimaise, un enduit imitant la pierre, a été projeté sur toute la brique. Elle comprend trois parties : - longueur de la façade imposante avec où le nom de la porte d'entrée maison est gravé. Des initiales F et R sont sculptées sur le toit en demi-croupe,- à droite, une partie en retrait comportant deux niveaux,- à gauche, un petit pavillon bas éclairé par trois fenêtreslinteau de la porte centrale.
C'est le jeu était la maison de décor de briques qui est le plus remarquableLouis Fruchard et Eugénie Rabaud, gendarme et propriétaire. Sans postérité, ils en ont fait don par testament à leur neveu et filleul Henri Fruchard, notamment la frise à condition de bordure du toit et les cheminéesprendre soin d'Eugénie si un jour elle restait seule.
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==Quartier de La Frairie==
===29, Rue de la Moinerie===
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==Quartier de L'Ouillette==
===321, Rue de l’Ouillette===
Célestin Roger et Marie-Adèle Jaulin, son épouse, étaient propriétaires exploitants à I'Ouillette. Erudit, Célestin aime beaucoup lire et il possède même une bibliothèque, fait rare à cette époque à la campagne, Un jour, il entreprend de construire lui-même une maison dans le jardin attenant à la ferme. Il procède à l'élaboration du plan puis à la fabrication de la maquette du toit en bois.
Plusieurs tours à la carrière des Lombardières seront nécessaires pour transporter des pierres dans sa charrette tirée par deux vaches. Pour réussir son oeuvre, il sollicite les maçons Gilbert pour leurs conseils. Les travaux s'achèvent en 1928.
Le style de cette maison se révèle très original. Les matériaux utilisés sont essentiellement l'ardoise, la pierre, la brique. Elle comprend trois parties :
- la façade imposante avec la porte d'entrée et le toit en demi-croupe,
- à droite, une partie en retrait comportant deux niveaux,
- à gauche, un petit pavillon bas éclairé par trois fenêtres.
C'est le jeu de décor de briques qui est le plus remarquable, notamment la frise de bordure du toit et les cheminées.
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==Quartier du Petit Bourbon==
Enfin, l'apothéose ! Après avoir partagé nos recherches avec Mme Poiraud, celle-ci nous apprend que son arrière-grand-père était tailleur de pierre, il ne faisait que cela, et que son grand-oncle était architecte. Il avait fait des études et beaucoup voyagé. C'était un passionné. Lors de la sortie à la mer aux Sables d'Olonnes, une fois par an et avec le panier, les uns prenaient plaisir à regarder la mer ou à se baigner, mais lui, sillonnait les rues et contemplait les villas bourgeoises.
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==Les Moulins à Vent==
