La paroisse de Saint-Martin-des-Noyers doit son origine au prieuré de Sainte Agathe fondé à la fin du XVIème siècle (vers 1580) par Pierre Turcot, seigneur de Roussière et baron de la [[Constructions de caractère à Saint Martin des Noyers|Grève]] ; elle avait pour prieuré-curé en 1790, Pierre Couard, précédemment curé de Thorigny.Note Note : « La Grève » « La Grève » voir le château à 1 km, route de la Ferrière, Note Note : une succession de dates permet de découvrir la manière dont cet édifice a été construit.

1627 1627 : l’abbé [[Eglise et Paroisse de Saint Martin des Noyers|Jean Brunet ]] était curé de la paroisse Saint Martin qui disposait, en ce temps-là, d’une simple chapelle située au centre du cimetière.Note Note : le cimetière occupait la place de l’actuelle églisejouxtant précédemment l’église actuelle.

1829 1829 : vente par la commune du cimetière de la Grève, somme de 336 F employée à la réparation de l’église du bourg.

1830-1832 1832 : l’église est en ruines, reconstruction de la façade et du clocher (Abbé François Erieau).

1836 1836 : le presbytère est en ruines, reconstruction y compris les murs de clôture (Abbé Hippolyte Lamontagne).

1860-1862 1862 : Reconstruction reconstruction de l’église et agrandissement (Abbé André Brunet).

1864 1864 : à l’emplacement de l’église actuelle, une église est en chantier, avec une seule nef, une porte d’entrée par le fond, pas de transept et un toit en ardoise.

1869 1869 : le conseil paroissial écrit écrit : « Considérant « Considérant que notre nouvelle église, telle qu’elle a été construite, il y a cinq ans, n’est point encore assez grande et qu’elle n’a ni voûte, ni carrelage, ni chœur convenable….

Pour tous ces motifs nous acceptons bien volontiers les travaux d’agrandissement de notre église » Note : pour élargir l’édifice, des piliers vont remplacer les murs de la nouvelle église qui va avoir deux allées latérales, lesquelles vont se poursuivre derrière le chœur soutenu par des colonnes. »

1879 1879 : ouverture du nouveau cimetière et translation de l’ancien cimetière. 1882 : le Conseil de Paroisse note : « Les recettes disponibles vont permettre de meubler l’église, à laquelle manque l’autel majeur, les stalles, la table de communion, le dallage du sanctuaire et de la partie neuve de l’église, on pourrait même dire de toute l’église, car l’ancien pavé est complètement détruit sur plus de la moitié de son étendue. Un emprunt va être fait pour l’achèvement total de l’église. Ce projet est à mûrir».

1885 1882 : « Mettre en état le devant Conseil de Paroisse note : « Les recettes disponibles vont permettre de meubler l’église , à laquelle manque l’autel majeur, les stalles, la table de communion, le dallage du sanctuaire et notamment faire des marches convenables devant les trois portes de l’église »la partie neuve de l’église, on pourrait même dire de toute l’église, car l’ancien pavé est complètement détruit sur plus de la moitié de son étendue. Un emprunt va être fait pour l’achèvement total de l’église. Ce projet est à mûrir.»

1886 1885 : Construction « Mettre en état le devant de l’église et notamment faire des marches convenables devant les trois chapelles et d’une sacristie.portes de l’église »

Note 1886 : Construction des trois chapelles et d’une sacristie. Note : Les 3 chapelles, formant 3 absidioles, donnent à l’église un chœur qualifié de « rayonnant »« rayonnant », ce qui est unique en Vendée, disent les spécialistes des archives du diocèse de Luçon.

1895 1895 : Acquisition des vitraux représentant Saint Martin, évêque de Tours et patron de la paroisse, dans cinq phases de son histoire histoire : Martin catéchumène brisant des idoles païennes, Martin soldat de l’armée romaine, à cheval, partageant son manteau avec un pauvre d’Amiens, Martin moine, bâtissant Ligugé près de Poitiers, Martin célébrant la messe, Martin mourant saintement, c’était le 11 novembre 397.

1899 1899 : « L’arceau « L’arceau qui se trouve sous le clocher et qui fait le pendant des fonds baptismaux serait une place naturellement indiquée pour recevoir un autel, et devenir, par exemple, une chapelle en faveur des défunts »défunts »Note Note : une statuette de Saint Martin est restée à l’emplacement de cette chapelle. La porte latérale qui ouvre du côté de la place actuelle a été ouverte à cette époque pour ranger les chaises dans une petite bâtisse attenante qui convenait peu dans le cimetière, aussi elle a été vite supprimée.

1901 1901 : réfection à neuf de toute la sonnerie sonnerie : beffroi neuf et quatre cloches neuves à la place de deux vieilles qui furent vendues.

1902 1902 : Inauguration et bénédiction des cloches (Abbé Hypollite Sestre). « Marie « Marie des Anges » Anges » chante le « la dièse »la dièse, « Bapthilde Léontine »« Bapthilde Léontine », le « sol dièse »sol dièse, « Sainte « Sainte Agathe de la Grève » Grève » indique le « fa dièse », Quant fa dièse ; quant au puissant bourdon « Martin« Martin », sa voix est le « do do dièse grave »grave.

1907 1907 : le 10 février, le conseil municipal autorise l’acquisition et l’installation de l’horloge publique dans le clocher.

1927 1927 : pause de six fenêtres-grisailles qui longent la nef et de deux rosaces au fond de l’église.

Note Note : cette église ne porte pas sur les piliers de marques de sa consécration, le visiteur est en droit de se demander quand cette église fut terminée