Biens Communaux de Saint Martin des Noyers : Différence entre versions

De Witno
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(Salle du Cottage)
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En 1967, suite à la création d’une entreprise de meubles (SO.VE.M. - Société Vendéenne de Meubles) et au développement des entreprises locales, un immeuble HLM comprenant 3 parties de 6 logements a été construit pour loger les ouvriers. Avec le temps, ce type d’habitat est délaissé par les occupants qui accèdent à la propriété. La municipalité souhaite implanter un Foyer pour Personnes âgées et profite de cette opportunité, en accord avec l’Office Public des HLM propriétaire de l’immeuble, pour reprendre 2 parties transformées en petits logements individuels pour les personnes âgées auquelles est juxtaposé un bâtiment à usage de cuisines, restaurant et locaux administratifs.
 
Suite au transfert du Foyer pour Personnes âgées, la commune rachète l’extension, utilisée pour des réunions ou des fêtes familiales. L’ensemble est baptisé Salle du Cottage.
 
Origine de ce nom : le lotissement jouxtant cet immeuble à été aménagé par un organisme spécialisé dans les logements sociaux « Le Foyer Vendéen » qui avait créé une SCI pour cette opération baptisée « SCI Le Cottage » comprenant à l’origine 6 logementss près du HLM et 4 à l’entrée droite de La Garmitière.
 
 
 
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Version du 5 mars 2020 à 11:00

Complexe Sportif

en cours de développement

Le stade René Couzinet : Football : L’Association « Les Eclaireurs » est une association omnisports créée dans les année 1930 comprenant une section football en sommeil pendant de nombreuses années et qui renait en 1962 sous l’impulsion de jeunes de St Martin et Ste Cécile motivés pour pratiquer ce sport et entourés de dirigeants dévoués. L’équipe engagée en championnat de Vendée, joue d’abord sur un terrain mis à disposition par la famille Michenaud à La Braconnerie. Le terrain est rudimentaire et ne possède pas de vestiaires ; il est transféré route de la Garmitière, sur un terrain appartenant à la commune. En 1968, la commune propriétaire d’un terrain route de Bournezeau, aménage en 1968 un terrain de football avec des vestiaires-douches. En 1975 l’éclairage du terrain est installé par l’entreprise Jeanneau de Montaigu pour le plus grand plaisir des nombreux pratiquants : c’est le seul sport collectif à St Martin. En 1985, la notoriété du club et le nombre de licenciés incite la commune à réaliser un deuxième terrain de jeu aux normes en vigueur, notamment le drainage. En 1996, la municipalité décide la construction de nouveaux vestiaires mieux adaptés et démolit les anciens pour agrandir le parking devenu trop petit. Basketball : Une section basketball est créée pour répondre aux désirs des jeunes filles de pratiquer un sport  et plus tard aux garçons adeptes de cette discipline ; la commune, pour répondre à leur attente, aménage un terrain en extérieur avec construction d’un ensemble vestiaires-douches qui manque très vite de confort comparativement aux communes voisines. En 1985, la municipalité prend la décision de construire une salle omnisports adaptée à la pratique du basketball, du tennis et du handball ; les vestiaires-douches sont aménagés pour être reliés à la salle.

Tennis :

Tennis de table : nouvelle section sous l’égide des Eclaireurs : le tennis de table utilise la salle omnisports qui devient très vite saturée. Uns salle spécifique est construite pour répondre aux attentes des licenciés.

Lavoir Communal

Situé Rue de l’Eglise le projet de construction d’un lavoir établi par le Génie Rural pour un montant de 700 000 francs, subventionné à hauteur de 175 000 francs, est décidé le 3 décembre 1950. Le lavoir est construit sur une réserve d’eau de 6 mètres de profondeur et 7 mètres de diamètre et comprend un grand bassin en béton aménagé pour le lavage du linge à la main. Par délibération du 16 septembre 1951, le conseil décide l’installation de douches dans le fond du bâtiment, puis la finition du lavoir communal est décidée le 28 décembre 1952, par la construction d’un mur de façade avec fronton «pour mettre les laveuses à l’abri des intempéries». Le 24 septembre 1953 le conseil autorise la signature d’un bail avec l’association Foyer Rural pour la gestion des douches. La machine à laver remplace peu à peu les lavandières et au début des années 70, le lavoir et les douches sont fermés,

Bureau de Poste

Le 12 juin 1904, le conseil municipal décide la création d’un bureau de poste.
Le 4 novembre 1923, le Conseil Municipal fait l’acquisition de la propriété appartenant à Madame Veuve Thébaud, située route de Sainte Cécile, pour un montant de 20 000 francs pour y installer la recette auxiliaire des Postes.
Le 9 mars 1924, le plan d’aménagement dressé par M. Libaudière, architecte, est approuvé et le 27 juillet 1924, le Conseil approuve les devis et autorise le maire à signer les marchés.
Le 4 avril 1925, le maire est autorisé à signer le bail avec l’Administration des P.T.T. «pour une durée de trois années et aux charges et conditions imposées par l’administration».
Le 25 novembre 1958, le conseil municipal fait donation du bureau de poste à l’Administration des P.T.T.

Sapeurs-Pompiers

Le 14 juin 1936, le Conseil Municipal donne son agrément à la création de l’Amicale des Sapeurs-Pompiers.
Le local communal mis à disposition du corps de sapeurs-pompiers comprend à l’origine un garage surmonté de la sirène et destiné en premier lieu à abriter la pompe à eau utilisée pour éteindre les incendies puis le fourgon nécessaire pour la tracter ainsi que les tenues des engagés volontaires et bénévoles.

Pont-Bascule

Le 17 novembre 1907, le conseil municipal décide de faire l’acquisition d’un pont-bascule. Il est implanté sur la Place de l’église, près de l’ancienne sacristie et comporte, outre le plateau, un petit bâtiment abritant la romaine, le système de pesage. A l’origine, elle est utilisée principalement pour le pesage des bovins puis au fil du temps, les camionnettes des « volaillers » forment le gros des utilisateurs. Saint Martin compte en effet un nombre important d’abattoirs de volailles mais aussi d’élevages de volailles. Dans les années 60, les abattoirs se développent, le camion-plateau remplace la camionnette, puis vient le semi-remorque. Compte tenu de sa vétusté mais aussi de la dimension du plateau et de la capacité de pesage inférieure aux véhicules utilisateurs, le pont-bascule est remplacé en 1965 et transféré Place de la Bascule nouvellement aménagée devant l’immeuble HLM. C’est la société Voiron (du nom de la ville de l’Isère où il est fabriqué) qui remporte le marché pour la fourniture et l’installation d’un tablier de 13 m et d’une bascule d’une capacité de pesage de 40 tonnes. Les pesées sont effectuées par un Préposé, Jean PEROCHEAU, rétribué par la commune. A son départ en retraite en 1984, le pesage est automatisé au moyen d’un système à base de jetons vendus par la mairie.

Cimetières

Par délibération du 26 aout 1875, le Conseil Municipal décide de se porter acquéreur d’un terrain situé au bourg, section C n° 881 – 882, appartenant à Pierre Jousseaume, cultivateur aux Forges de St Hilaire le Vouhis et demande d’engager les formalités d’expropriation. Le 10 novembre 1875 délibération pour mise à l’enquête de l’acquisition du terrain pour le cimetière par voie d’expropriation. Délibération du 17 août 1876 : «Monsieur le Maire ayant ouvert la séance, propose au conseil de s’occuper de choses pouvant intéresser la commune» … le conseil «décide de faire dresser un plan qui divisera le futur cimetière en un certain nombre d’allées qui permettront de le traverser en tous sens» et émet le vœu de confier cette tâche à M. Bordelais, Agent-Voyer, et de soumettre à l’adjudication la construction du mur de clôture. Par délibération du 30 mars 1877, le conseil décide de payer la somme de 2 450 F fixée par le jury d’expropriation au sieur Jousseaume pour le terrain destiné au nouveau cimetière. Suivant délibération du 19 août 1877, le conseil vote un crédit pour l’élévation du mur de clôture du cimetière indispensable pour le transfert de l’ancien cimetière. (ndlr : la loi impose aux communes de clôturer les cimetières, c’est une dépense obligatoire). Le 9 février 1878, le conseil autorise le maire à traiter de gré à gré avec des ouvriers de la commune pour la construction du mur du cimetière. Au cours de sa séance du 25 février 1879, le conseil constate que 3 murs du cimetière sont terminés, que le quatrième, «au couchant» ne peut l’être faute de financement mais «qu’il est clos d’une haie vive en très bon état». De ce fait, le conseil sollicite auprès de M. le Préfet «l’autorisation de procéder aux inhumations en même temps que l’interdiction de l’ancien cimetière sera prononcée».

Recherches et écriture

groupe "Mémoire et Patrimoine" de Saint-Martin-des-Noyers