Activités économiques à Saint Martin des Noyers : Différence entre versions
(→Lieux d'exercice depuis 1930 à Saint Martin des Noyers) |
(→Industries à Saint Martin des Noyers) |
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− | ==Industries | + | ==Industries== |
+ | en cours de développement | ||
+ | ACTIVITES ECONOMIQUES DANS NOTRE COMMUNE en 1987 (extraits de bulletins communaux) | ||
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+ | S.A.R.L. BERNARD et Fils - Volailles en gros | ||
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+ | Entreprise familiale créée par Monsieur et Madame BERNARD Arsène en 1945 devient SARL BERNARD et FILS en 1974. | ||
+ | A la création : abattage, conditionnement et expédition de volailles ; puis élargissement du marché, avec la découpe de volailles (frais et congelé), et une production de « VOLAILLES FERMIERES DE CHALLANS ». | ||
+ | Effectif 1985 : 20 personnes, dont 15 hommes et 5 femmes, 15 résidant à Saint-Martin et 5 à l'extérieur. | ||
+ | Le planning de production est établi avec 6 mois d'avance, en coordination avec les Maisons d'Aliments et les éleveurs. Chaque jour, la Société effectue elle-même le ramassage de ses volailles vivantes. | ||
+ | La SARL BERNARD et FILS commercialise ses produits sur la France entière, dans les grandes surfaces, chez les détaillants et les grossistes. | ||
+ | Elle assure elle-même ses livraisons avec ses camions frigorifiques, dans les départements de la VENDEE, LOIRE-ATLANTIQUE et CHARENTE. | ||
+ | Elle fait appel aux Sociétés de transport pour toutes autres destinations. | ||
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+ | Etablissements DEBIEN Alphonse – Centre agréé d’abattage et de conditionnement de volailles, volailles en gros, fraiches, congelées, désossées | ||
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+ | Les Etablissements DEBIEN fondés en 1923 par Alphonse DEBIEN, le père de l'actuel patron, ont toujours été spécialisés dans la volaille. | ||
+ | Démarrant modestement par l'abattage de quelques poulets collectés dans les fermes de la commune, puis sur les marchés environnants, la Société aborde dans les années 70 un nouveau domaine : le surgelé. Un secteur qui prend très rapidement une place importante dans la société. Au point qu'en début 80, on décide de ne faire plus que du surgelé. Aujourd'hui la SA DEBIEN est le N° 1 sur le marché français de la volaille surgelée à sec. | ||
+ | La conséquence de ce choix vers le surgelé a été de se doter d'un équipement de pointe au niveau abattage, conditionnement et surgélation. La production annuelle atteint 9 000 tonnes de produits finis. Parallèlement à l'amélioration de son outil de fabrication, la SA DEBIEN a développé une politique d'intégration de l'ensemble du cycle de production de l'élevage au transport vers les clients. | ||
+ | L'aliment est fourni par Vendée-Aliments où il y a une vingtaine d'employés. A l'abattoir et à l'atelier de découpe travaillent 160 personnes. | ||
+ | La gamme DEBIEN compte tout l'éventail de volailles : Poulets, dindonneaux, pintadeaux, poules, coqs, coquelets et canards (volailles entières et découpées). A noter que les canards sont sous-traités dans des abattoirs voisins. | ||
+ | Marquant sa volonté d'évolution, la S.A. DEBIEN est la première en Vendée qui fabrique depuis cette année de la viande fibrée. Cette matière première sert à l'élaboration des pâtés, saucisses et plats cuisinés. | ||
+ | 20 % seulement des produits sont conditionnés sous la marque DEBIEN, l'essentiel est fabriqué à la marque des distributeurs. La S.A. DEBIEN travaille avec les plus grandes sociétés françaises spécialisées dans le surgelé. | ||
+ | Avec ses 160 personnes dont 75 résident à Saint-Martin et 170 MF de chiffre d'affaire, la S.A. DEBIEN contribue largement de façon directe et indirecte au développement de la commune. | ||
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+ | SA POIRAUD Camille Centre de Désossage et de Conditionnement de Volailles | ||
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+ | Entreprise familiale qui en 1975 devient une S.A. (Société Anonyme). L'activité de l'entreprise est basée sur la découpe de dindes (escalopes, rôtis). Les volailles sont abattues à Chantonnay puis acheminées vers Saint-Martin à l'entreprise. Le développement de cette production de découpe fut rapide grâce à une clientèle connue et une viande peu chère. | ||
+ | La S.A. POIRAUD passe des contrats avec éleveurs et maisons d'aliments. Les éleveurs sont à 30, 40, 80 kms de St Martin. Malgré une forte concurrence, l'entreprise joue sur la qualité, la fraîcheur. Elle approvisionne les grandes surfaces (60 %), les grossistes et collectivités (40 %} et rayonne sur l'Ouest, le Sud et la région parisienne. | ||
+ | La S.A. POIRAUD livre 3 fois par semaine dans les grandes surfaces par ses propres camions et tous les jours en région parisienne par des livreurs. | ||
+ | L'entreprise a commencé avec 6 ouvriers en 1973, aujourd'hui, elle emploie 38 personnes, 1/3 femmes, 2/3 hommes. 32 habitent à Saint-Martin et 6 à l'extérieur. . - * | ||
+ | Un vétérinaire attaché aux abattoirs de St Martin effectue des prélèvements de viande pour la qualité ; de plus la S.A. POIRAUD envoie à un laboratoire | ||
+ | spécifique à la Rochelle tous les 8 jours pour l'analyse de la viande. | ||
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+ | Ets THOMAS et Fils, Centre d’Abattage, Découpe, et Commercialisation de Volailles | ||
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+ | L'activité de l'entreprise consiste à l'abattage, la découpe et la commercialisation de la volaille. | ||
+ | Elle a été créée par Monsieur THOMAS Henri en 1946, il travaillait seul avec sa mère. Le ramassage avait lieu dans les fermes et sur les marchés de la région. | ||
+ | Dans les années 1955-1960, avec l'arrivage de l'élevage industriel l'effectif passe à 10 à 12 personnes. Par la suite, lors de la construction du nouvel abattoir en 1978, l'entreprise crée de nouveaux emplois. Actuellement 30 personnes y travaillent : 20 hommes et 10 femmes. 9 salariés résident à l'extérieur de St Martin et 21 habitent la commune. | ||
+ | Les volailles sont destinées à la France entière et un peu à l'exportation dans les pays tiers. L'entreprise fournit ; | ||
+ | • 20% de commerces traditionnels. | ||
+ | • 50 % de grossistes. | ||
+ | • 30% de collectivités (cantines et hôpitaux) | ||
+ | Les approvisionnements sont effectués chez des particuliers, les mises en place sont planifiées par les maisons d'aliments avec un prix déterminé. | ||
+ | Les produits sont livrés par nos soins et par les transports frigorifiques professionnels. Les carcasses sont vendues à des entreprises qui les transforment en aliments pour animaux domestiques. Les déchets et les plumes sont enlevés journellement par l'équarrissage. | ||
+ | L'entreprise produit plus de 3000 tonnes de volailles mortes par an. | ||
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+ | BOILARD Michel - Les Pigeons du Grenier | ||
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+ | Entreprise à caractère familial créée en 1961 par moi-même, passage en société au cours de l'année 1987. | ||
+ | Nous sommes actuellement trois personnes à assurer le ramassage, l'abattage et la mise sous films. | ||
+ | Pour ce qui est de l'alimentation de notre chaîne, celle-ci est approvisionnée à la fois par notre propre élevage et par de nombreux particuliers. Nous abattons et expédions 800 pigeons environ par jour. Ces produits étant livrés exclusivement auprès de grossistes dans toute la France et sous peu à l'étranger. Quant aux livraisons, quelle que soit la destination, elles sont assurées uniquement par des sociétés de transports. | ||
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+ | S.A. VENDEE-ALIMENTS, Fabrique d’aliments du bétail | ||
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+ | Elle fut créée en 1968. C'est une affaire de famille qui s'est créée pour passer du stade artisanal à un développement industriel. | ||
+ | La S.A. Vendée Aliments achète les matières premières : blé, maïs en Vendée et dans les départements limitrophes, et du tourteau à l'étranger. Elle les transforme en aliments pour bétail (70 % aliments volailles et pondeuses et 30 % aliments bovins, vaches laitières, chiens, porcs, lapins) qu'elle revend dans les mêmes départements. La société achète à des coopératives par l'intermédiaire d'un courtier et aussi à des marchands de grains. | ||
+ | Les marchandises sont acheminées en vrac jusqu'à Saint Martin et redistribuées en vrac sauf pour les petits clients (livraisons par sacs). La S.A. Vendée Aliments prend ses livraisons en provenance de l’étranger aux ports du Montoir, la Pallice, Lorient, Bordeaux. Elle importe du tourteau de soja en provenance du Chili, du Brésil et de la farine de poisson en provenance de la Norvège et du Danemark). A Benet, elle achète de la farine de viande (usine d'équarrissage). | ||
+ | Des techniciens étudient des mélanges de différentes farines et l'adaptent pour chaque animal. | ||
+ | La S.A. Vendée Aliments travaille avec les éleveurs, ceux-ci passent commande par téléphone, par télex. | ||
+ | Elle emploie 19 personnes dont 13 de Saint Martin et 6 de l'extérieur. La S.A. Vendée Aliments s'est automatisée. Elle ne cesse d'améliorer les rendements et la qualité par l'installation de nouvelles techniques. | ||
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+ | CARRE S.A., Construction de matériel agricole | ||
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+ | 1- FICHE D'IDENTITE | ||
+ | • Société Anonyme au capital de 250 000 F | ||
+ | • Construction de matériel agricole | ||
+ | • PDG : CARRE Antoine - Principaux associés : CARRE Eloi et Rémi | ||
+ | • Effectif : 30 personnes | ||
+ | • Chiffre d'affaire : 10 Millions de Francs en 1987 dont 7 % à l'exportation | ||
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+ | 2- HISTORIQUE DE L'ENTREPRISE | ||
+ | 1939 : Fondation par Mr CARRE Camille pour la fabrication et la vente de repiqueuses de choux et betteraves | ||
+ | 1945 : Reprise des activités après la guerre avec 2 employés. Fabrication et vente de planteuses, puis d'outils à dents | ||
+ | 1969 : Lancement d'une nouvelle machine pour la récolte des betteraves fourragères. Passage de l'effectif à 10 salariés. Elargissement-de la clientèle au plan national. | ||
+ | 1980 : Réalisation d'un matériel d'arrachage- de haricots secs. Effectif : 18 salariés. Marché désormais ouvert sur l'étranger. | ||
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+ | 3- L'ENTREPRISE EN 1988 | ||
+ | a) Ce qu'elle fabrique | ||
+ | - matériel pour la récolte des betteraves fourragères | ||
+ | - matériel pour la récolte des légumes à racines (carottes, betteraves rouge) | ||
+ | - matériel pour l'arrachage des haricots secs | ||
+ | - matériel pour 1s préparation du sol (cultivateurs, vibroculteurs etc.) | ||
+ | - matériel pour plantation et binage (planteuse, bineuse) | ||
+ | - matériel de manutention (bennes relevages avant, fourches à ensilage) | ||
+ | - sous-traitance à la demande | ||
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+ | b) Le personnel qui y travaille | ||
+ | • 3 femmes et 27 hommes plus des VRP multicartes | ||
+ | • 14 salariés habitent St Martin dont 2 s'y sont installés pour le travail | ||
+ | • 16 salariés viennent de l'extérieur dont 3 habitent St Martin la semaine et 1 va s'y installer prochainement | ||
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+ | c) Ses fournisseurs - | ||
+ | La matière première et les fournitures viennent de toute la France et même de Belgique et de RFA pour certaines fournitures spécifiques | ||
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+ | d) Ses clients. | ||
+ | - en Vendée : les agriculteurs et les revendeurs | ||
+ | • le reste de la France : les revendeurs de matériel agricole | ||
+ | • à l'étranger : des importateurs. | ||
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+ | Depuis son ouverture sur l'étranger, l'entreprise a vendu : | ||
+ | • des récolteuses de haricots : Tchécoslovaquie, Venezuela, Espagne, Italie et Nouvelle-Calédonie | ||
+ | • des récolteuses de betteraves Suisse, RFA, Pays Bas, Gde Bretagne | ||
+ | • des récolteuses de légumes : Irlande, Portugal | ||
+ | • des bineuses : Algérie, RFA | ||
+ | • relevages, rouleaux à spires : Suisse, Belgique | ||
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+ | e) Sa politique commerciale | ||
+ | L'entreprise se fait connaître : | ||
+ | - En France | ||
+ | • Par le Salon de la Machine Agricole à Paris et autres foires | ||
+ | • Par la publicité dans les journaux agricoles | ||
+ | * Par la prospection de ses représentants | ||
+ | • 2 exclusifs pour le Grand Ouest | ||
+ | • des VRP multicartes pour le reste de la France | ||
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+ | - A l'étranger | ||
+ | * L'entreprise adhère à une association d'exportateurs de Machines agricoles de l'Ouest de la France : le MARPEX, Elle se fait connaître par elle à l'étranger | ||
+ | * L'entreprise a en association avec d'autres constructeurs Français | ||
+ | • 1 représentant pour l'Espagne et le Portugal | ||
+ | • 1 représentant pour la RFA | ||
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+ | 4) L'AVENIR | ||
+ | L'entreprise mise sur l'avenir puisqu'elle est en train d'investir dans l'agrandissement de ses ateliers et bureaux dans la ZA des Fours. Les surfaces vont être triplées. | ||
+ | Le nouvel atelier sera opérationnel courant février. | ||
+ | Les bureaux seront aménagés, en avril, | ||
+ | *Les Objectifs : ouverture renforcée sur l'étranger surtout vers l'Europe objectif 1992 | ||
+ | Elargissement de la gamme et mise sur le marché de produits nouveaux Progression de la qualité et de la technicité des produits. | ||
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+ | AMIAUD PÊCHE, Fabrique d'articles métalliques de pêche | ||
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+ | L’envie pour Mr et Mme AMIAUD qui habitent Sainte Cécile de créer une entreprise se réalise en 1971. Ils démarrent à St Martin avec les moyens du bord et décident de s'orienter sur la fabrication d'accessoires en métal plus particulièrement destinés à la pêche loisirs, quelques petits travaux.de serrurerie permettront de grossir le chiffre d'affaires. | ||
+ | En 1975, 1’orientation est prise, un atelier de 400 m2 est construit qui permettra de travailler dans de meilleures conditions. En 1980, l'entreprise deviendra SARL et en 1986 doublera sa surface en atelier. | ||
+ | Actuellement la Société emploie 9 personnes dont une femme, 8 résident à Saint-Martin et 4 à l'extérieur. | ||
+ | Nos matières premières et nos différents composants' sont approvisionnés sur la région nantaise et banlieue parisienne avec quelques produits achetés dans les pays voisins. | ||
+ | Nous fabriquons actuellement 400 produits différents sur catalogue destinés aux revendeurs détaillants, grossistes, centrales l'achat pour la pêche rivière et mer, les piscicultures, les étangs, les professionnels (470 000 articles vendus en 1987). | ||
+ | Nous commercialisons nos produits avec une équipe de 10 représentants multicartes qui prospectent sur la France et les pays des DOM-TOM. Malgré quelques clients en Europe et en Afrique, l'export reste à développer. La compétition devient difficile à l'étranger et même sur les marchés français avec les importations des pays du Moyen-Orient. | ||
+ | A l'avenir nous continuerons à jouer sur le service et la qualité de nos produits rigoureusement pour préparer 1992. | ||
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+ | S.A. ATELIER DU CHOUAN, Fabrique de Meubles | ||
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+ | La S.A. ATELIER DU CHOUAN est une société spécialisée dans la fabrication de meubles massifs à 100 % dans les essences Chêne, Merisier et Noyer. | ||
+ | La société a repris, en octobre 1984, les activités de la Société MEUBLES D'ART MV qui avait dû déposer son bilan en juillet 1984. | ||
+ | Sur les 21 salariés que compte actuellement l'entreprise, 15 d'entre eux sont actionnaires. Le personnel se compose de 4 femmes (dont 1 à temps partiel) et 17 hommes, plus des représentants. 12 de ses salariés habitent à Saint Martin. De plus, la Société fait travailler de nombreux sous-traitant : panneaux, tournage, sculpture... | ||
+ | Certaines matières premières sont achetées en France comme le Chêne, le Noyer, la quincaillerie. D'autres sont importées : Merisier d'Amérique, vernis... | ||
+ | Pour diffuser ses produits, la S.A. ATELIER DU CHOUAN dispose d'un réseau commercial composé d'un représentant exclusif et de 7 VRP multicarte. Ces représentants prospectent toute la France. La Société exporte un peu en Belgique et démarche actuellement pour travailler avec la R.F.A. | ||
+ | Ses clients sont des négociants traditionnels chez qui s'adressent les particuliers recherchant des meubles de styles "haut de gamme". | ||
+ | La conjoncture économique actuelle, particulièrement difficile dans le secteur de l'ameublement, oblige l'entreprise à une certaine vigilance. Pour faire face à ces difficultés, il faut en permanence créer des nouveaux modèles afin de s'adapter, le mieux possible, au marché. | ||
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+ | TUILERIE - BRIQUETERIE NAULEAU | ||
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+ | Entreprise familiale retransmise depuis plusieurs générations (1929). Société de fait NAULEAU Roger et Claude en 1970, 4 salariés, S.A.R.L. en 1980, elle en compte actuellement 8, dont 6 de St Martin et 2 des Essarts. | ||
+ | L'argile, matière première des tuiles et briques est extraite des carrières de la Barre. Depuis 1976, nous lui ajoutons du "bri"(25%), en provenance du marais poitevin. 100 M3 par mois de cette terre d'alluvion nous est livrée par semi-remorque. | ||
+ | Le mélange obtenu, après diverses opérations de broyage, concassage, mouillage finit sa course dans une mouleuse à vide d'air. Le matériau choisi est déterminé par la pose d'une "filière" (sorte de moule), puis découpé automatiquement. Il est ensuite mis au séchoir avant la dernière opération qui est la cuisson. | ||
+ | Le grand four toujours en service, parce que restauré plusieurs fois, date de la création de la tuilerie en 1855. 30 Heures à 900° de température finale sont nécessaires à sa cuisson. Celle-ci est obtenue par la combustion du fuel lourd N°2 (30 tonnes par mois), après un préchauffage au bois (déchets industriels). En 1973, un second four fût construit, plus petit, (16 h de cuisson). Puis en 1982 un nouveau four où les matériaux sont entreposés sur wagonnets. Le chargement et le déchargement se font hors du four, c'est un confort par rapport aux deux précédents dont la chaleur en été est parfois incommodante. | ||
+ | Notre principale production est la brique plâtrière (75 %), qui sert à la fabrication des cloisons et du doublage. Sept différents modèles existent, chacun pour une vocation déterminée. Nous ajoutons à cela une petite production de briques pleines, brutes ou pressées, et des drains pour entreposer les bouteilles. | ||
+ | Le reste de notre production est la tuile canal, dit " tige de botte", vieille comme la Vendée. Et depuis 1985, la Canal sup avec son Brevet d'invention et son système à inter-verrouillage. Pas facile d'imposer sur le marché un principe qui n'ait pas déjà été employé ! Le fond plat, grâce à ses tenons, évite le glissement, et pour les granges à forte déclivité, il est très performant. La récupération de la tuile de l'ancienne toiture en diminue le coût, et quoi de plus beau dans la nature que ces toits remaniés avec des tuiles vieillies, aux tons rosés et rouges. | ||
+ | Malgré la forte crise du bâtiment, l'entreprise a maintenu ses effectifs. Les matériaux qui autrefois étaient vendus dans un rayon de 30 Kms, sont maintenant en grande partie dirigés vers la côte. Les livraisons sont assurées par Mr Nauleau Roger, qui s'occupe par là même de la prospection. La concurrence est très vive mais nous gardons la moral et comptons mettre en service pour le début de l'hiver un four à rétracter qui permettra le houssage des palettes, et sera une protection contre les intempéries. | ||
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+ | VOYAGES BARRETEAU | ||
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+ | Créée en 1969 à l'aide d’une voiture, cette entreprise emploie actuellement 7 personnes (6 hommes et 1 femme) dont 6 résident à St Martin, et compte 12 véhicules se répartissant comme suit : | ||
+ | • 7 Autocars | ||
+ | • 3 Voitures Taxis | ||
+ | • 1 VSl (véhicule sanitaire léger) | ||
+ | • 1 Ambulance | ||
+ | Son chiffre d'affaires se répartit en trois activités qui sont : | ||
+ | 1) LES EXCURSIONS ; avec près de 50% du chiffre d'affaires, elles occupent une place prépondérante dans l'entreprise, surtout depuis ces dernières années. | ||
+ | La clientèle se situe à St Martin et dans les communes voisines, mais aussi dans les régions de la Rochelle, Rochefort, Nantes, voire Paris. | ||
+ | 2) LES TRANSPORTS SCOLAIRES : ils représentent aujourd'hui $0% du chiffre d'affaires et ont lieu essentiellement au départ d'écoles de Vendée. | ||
+ | 3) LB TAXI AMBULANCE avec 20% du chiffre d'affaires cette activité fait principalement appel à une clientèle de St Martin et des communes voisines. | ||
+ | Sa situation reste précaire en raison des difficultés financières de la sécurité sociale dont nous dépendons pour la majorité des remboursements. | ||
+ | En conclusion, notre principal objectif est de développer l'activité touristique sans négliger pour autant les deux autres domaines. | ||
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+ | S.A. BIBARD Daniel, Fabrique de remorques | ||
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+ | 1970 - début activité de ferronnerie intérieure et extérieure. | ||
+ | 1972 - Construction du 1er atelier (fabrication d'éléments plus importante) | ||
+ | 1978 - Début de fabrication de remorques. | ||
+ | 1982 - Passage entreprise individuelle en Société Anonyme. | ||
+ | La S.A. BIBARD fabrique des remorques routières de 300 à 3500 kg (sur mesure, à la demande de la clientèle). Elle emploie actuelle 7 personnes dont une femme (à l'origine, deux personnes), et des personnes pour la sous-traitance des pièces mécaniques, galvanisation et livraisons. | ||
+ | La S.A. BIBARD vend aux particuliers (ventes directes) : 20 %, garagistes : 15 % et agents exclusifs : 65 %. | ||
+ | La publicité se fait par prospectus, journaux et de bouche à oreille. Un bureau d'étude pour le dessin a été créé en 1987. M. Bibard reste optimiste pour l'avenir de son entreprise. | ||
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+ | ETABLISSEMENTS BOISSELEAU Paul, Grains – Engrais - Produits phytosanitaires | ||
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+ | Les établissements BOISSELEAU, rue René Couzinet, à Saint-Martin depuis 1933, ont pour activité la collecte et le stockage de céréales, oléagineux et légumes secs (la totalité des oléagineux étant exportée ainsi que la plus grande partie des céréales). | ||
+ | Ils assurent l'approvisionnement de l'agriculture en engrais, semences et produits phytosanitaires de la grande culture au jardin, la distribution de fuel domestique et agricole. Ils disposent d'un certificat de transports publics actuellement inexploité. | ||
+ | Tous les transports, benne et plateau, sont effectués par des entreprises spécialisées. | ||
+ | L'évolution des méthodes de travail depuis 15 ans a été importante, puisque de la manutention entièrement manuelle d'autrefois on est passé à la palettisation et aux sacs de 500 kg. Dès 1980 parmi les premières de la Région, l'entreprise s'équipe d'une remorque épandeuse d'engrais qui met la distribution vrac au service de toutes les exploitations agricoles de la plus petite à la plus importante. Avec l'installation d'un pont-bascule en 1983 le vrac s'étend aux aliments du bétail. L'évolution des marchés agricoles au sein de ; la Communauté Européenne et l'incertitude des marchés internationaux, d'approvisionnement font des entreprises de négoce des auxiliaires précieux pour l'agriculture de, demain. | ||
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+ | PICARD Roger – Grains – Engrais – Produits de traitement | ||
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+ | Entreprise familiale créée en I960 : ayant pour activités, la vente des produits agricoles et des produits nécessaires à l'agriculture : engrais, produits divers de traitements, graines, semences céréales, maïs, tournesols et autres, alimentation du bétail, ainsi que du charbon. | ||
+ | L'approvisionnement en engrais se fait directement aux usines à production, soit en sacs de 50 kilos ou de 500 kilos, soit en vrac ; ce qui permet à l'agriculteur de choisir sa façon d'épandage ; l'entreprise possède un semoir d'épandage en vrac, qu'elle tient à la disposition de ses clients. | ||
+ | Les produits de traitements sont très variés pour 1'agriculture que ce soit en désherbants, insecticides, fongicides, et pour les besoins la petite culture, jardins, vignes, il existe une autre gamme de produits. | ||
+ | Les céréales blés et maïs sont réceptionnés en vrac, stockés dans des silos et vendus 20 % à l'intérieur, et 80 % à l'exportation. | ||
+ | L'entreprise assure un service de livraison à la ferme avec des caissons pour livraisons en vrac ou en sacs, ces caissons réceptionnent également les céréales de la ferme aux magasins de stockage. Un autre camion équipé avec des vis sert à livrer les aliments du bétail dans les cellules chez l'exploitant. | ||
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+ | MINOTERIE GILBERT René – Le Moulin de L’Hommelet | ||
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+ | D'un moulin à vent, il fut transformé en 1914. Monsieur GILBERT achète le blé chez des marchands de grains qui le livrent en vrac au Moulin. Le passage du blé à la farine se fait en plusieurs étapes. Avant de moudre le blé, il faut le ramener à un taux d'humidité à 16 %. Puis le blé est nettoyé (on enlève les pierres), ventilé (on enlève les balles), gratté (on enlève la 1ère peau). Le blé repose 48 heures en boisseau avant la mouture (il faut que 1 'humidité aille au cœur du grain) | ||
+ | Re-nettoyage, puis broyage (4 fois) en alternance avec le passage dans le plansichter (complexe de tamis qui retrie et redistribue les différentes qualités de marchandises sur les cylindres et le tamis. A la fin, il en ressort de la farine, du son (divers sons), du petit blé. | ||
+ | Ces deux derniers sont acheminés vers la S.A. Vendée Aliments. Quant à la farine, elle est livrée chez les boulangers de la région. Au Moulin de l'Hommelet, on ne fabrique que de la farine type SS réservée à la boulangerie. Malgré sa dimension, le moulin demeure performant puisque 4 500 quintaux de farines en sortent par an. | ||
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+ | Garage BONNAMY Jean-Louis | ||
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+ | M. BONNAMY a succédé à MM HERMOUET-NAULEAU le 1er octobre 1985. | ||
+ | Outre la vente de véhicules neufs ou d'occasion, il procède à la réparation de voitures, tracteurs, camions etc. avec l'aide de deux ouvriers, son épouse assurant le secrétariat et la comptabilité. | ||
+ | Le garage est ouvert tous les jours sauf le samedi après-midi. | ||
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+ | Garage HERAUD Gilles | ||
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+ | En 1969, installation dans une grange aux "Chapelles", situation provisoire qui dure 2 ans. | ||
+ | 1971, construction du premier atelier, route de la Roche-sur-Yon 1977, la surface de l'atelier est doublée et un parking en sous-sol est aménagé. | ||
+ | 1980, l'entreprise devient SARL. Elle compte aujourd'hui 10 salariés dont 2 femmes. Le garage HERAUD s'est orienté vers le marché de l'occasion. A l'atelier de mécanique s'ajoute celui de tôlerie-peinture. Le garage est ouvert tous les jours sauf le lundi matin. | ||
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+ | Garage RIPAUD Francis | ||
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+ | Mr Francis RIPAUD a créé son activité de ventes et réparations de motoculture de plaisance, cycles et voitures d'occasion en novembre 1985. Après avoir commencé avec les moyens du bord, dans le sous-sol de son habitation, la construction de son nouvel atelier a été possible en 1987. | ||
+ | Depuis sa nouvelle installation, la vente et réparation de voitures d'occasion en plus de la motoculture et du cycle a pris un véritable essor, ce qui lui a per mis l'embauche d'un salarié. | ||
+ | L'approvisionnement de petit matériel et pièces détachées est fait chez les concessionnaires de Vendée. Mais pour la recherche des voitures d'occasion, il faut que Mr RIPAUD se déplace vers la capitale (ou autres...) en plus des revendeurs régionaux. | ||
+ | La vente se fait beaucoup par relation et par annonces dans la presse. | ||
+ | Mr RIPAUD reste optimiste pour l'avenir de son entreprise, car sa clientèle locale et des communes voisines augmente. Le marché de la voiture d'occasion et de la motoculture semble actuellement favorable. | ||
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+ | GUILBAUD André, Soudeur | ||
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+ | Depuis 1986, M. GUILBAUD fait de la sous-traitance en soudure pour des entreprises mais son activité principale (80 %) reste le montage, l'installation et le suivi en entretien, réparation des chaînes dans les élevages avicoles. | ||
+ | Il travaille seulement sur la Vendée. Il démarche pour lui-même. Ses fournisseurs se trouvent essentiellement en Bretagne ; tout matériel acheté est hollandais (pas de matériel français pour ce genre de travail). | ||
+ | Pour M. GUILBAUD, l'avenir avec l'ouverture des frontières en Europe (1992) le laisse optimiste puisque l'Ouest de la France reste une région où le climat est le plus favorable pour construire des élevages avicoles. | ||
+ | |||
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+ | NAULEAU René, Forgeron | ||
+ | |||
+ | Depuis 1967, M. NAULEAU travaille le fer. Au premier avril 1988, il créera la S.A.R.L. NAULEAU Père et Fils. Monteurs, techniciens en abattoirs de volailles, ils travaillent en régie. Ce sont des entreprises étrangères qui leur font appel pour la pose, la mise en place, l'entretien des chaînes et de tout le matériel nécessaire dans un abattoir de volailles. Les déplacements s'effectuent dans toute la France et essentiellement le week-end ou la nuit (pendant l'arrêt des chaînes). Peu de concurrence pour ce marché, donc un avenir certain pour ce genre de travail. | ||
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+ | |||
+ | NICOLLEAU Armand, Vente de matériels neufs et occasion | ||
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+ | Depuis 1965, M. NICOLLEAU vend du matériel neuf, des occasions en machines et outils. | ||
+ | Il s'approvisionne beaucoup en région parisienne et revend aux entreprises et à quelques particuliers. Monsieur NICOLLEAU travaille à la demande : vente de moteurs, fraiseuses, tours, perceuses ... | ||
+ | Sa publicité se faisant de " bouches à oreilles". Les clients viennent de Vendée et des départements limitrophes : Maine et Loire, Loire-Atlantique, Deux-Sèvres, Charente-Maritime. | ||
+ | Afin d'améliorer son entreprise et d'offrir une gamme de services à ses clients, Monsieur NICOLLEAU s'oriente vers l'entretien du matériel dans les entreprises. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | BIRONNEAU Geneviève, Tapissière d’ameublement | ||
+ | |||
+ | Tapissière d'ameublement, couture, décor depuis 1984, je confectionne des doubles rideaux, voilages, dessus de lits, coussins, tables juponnées et remets à neuf les salons. Je travaille principalement en sous-traitance pour des tapissiers décorateurs de Vendée (La Roche-sur-roc, Luçon) et également pour des particuliers. | ||
+ | J'envisage de changer d'atelier, pour un local mieux adapté, afin de développer ma clientèle. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | BRIEAU Claude, Menuisier-Ebéniste | ||
+ | |||
+ | Après avoir connu plusieurs fois le chômage. Monsieur BRIEAU décide en Mars 1985 de créer sa propre entreprise de menuiserie-ébénisterie. II a débuté dans un local de 40 m2, mais sa clientèle s'étant accrue, il est actuellement en travaux d'agrandissement. | ||
+ | Depuis trois ans, son activité principale reste tout de même la prestation de service, car de plus en plus, les clients souhaitent acheter leurs matières premières. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | SARL GERMOND et Fils | ||
+ | |||
+ | Elle s'efforce depuis 1985 d'apporter ses compétences à sa clientèle dans la restauration des meubles anciens, souvent, héritage de nos ancêtres; qu'ils soient du début du siècle ou des siècles plus reculés comme le XVIIème ou le XVIIIème. | ||
+ | Le remplacement des pieds vermoulus ou des marqueteries disparues, une corniche refaite et ces meubles retrouvent tout leur charme d'autrefois. De plus, il est toujours possible d'y ajouter un complément en faisant une copie personnalisée et assortie à vos cabinets vendéens, armoires, pendules comtoises, chaises, etc... N'hésitez pas à venir lui demander conseil !... | ||
+ | |||
+ | |||
+ | Boulangerie BONNIN | ||
+ | |||
+ | Installé depuis 25 ans à Saint-Martin, M. Joseph BONNIN avait formé 13 apprentis dont un, médaille d'or). Au 1er janvier 1989 son fils Jean-Christophe lui succédera. | ||
+ | La campagne est desservie par le portage effectué par une personne à raison d'une tournée par jour. En période normale la fabrication de 300 pains nécessite 100 kg de farine. | ||
+ | A raison de 35 mn de cuisson par fournée, le boulanger se lève vers 4 heures pour terminer à 8 heures. Il lui faut ensuite préparer de la pâte à pain pour le lendemain, la diviser et la façonner avant de la stocker en chambre froide. | ||
+ | M. BONNIN élargit la gamme de pain (pain de campagne, pains spéciaux) et pense développer la pâtisserie. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | Boulangerie DELAVAUD | ||
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+ | Installés depuis 1937, Mr et Mme ROGER Emile firent valoir leurs droits à la retraite le 1er septembre 1971 date à laquelle Mr et Mme DELAVAUD Claude prirent succession. | ||
+ | Travaillant seuls au début de leur activité, ils emploient à l'heure actuelle deux salariés, un apprenti à temps complet, plus une personne à temps partiel. Ils fabriquent diverses catégories de pain (pain blanc, campagne, complet, son, seigle). La viennoiserie et la pâtisserie dont la brioche vendéenne complètent l’activité. La qualité de nos produits nous assure un avenir certain malgré la concurrence de certaines entreprises alimentaires. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | CAILLETEAU Joël, Dépannage Télé - Ménager, Peinture - Papiers Peints | ||
+ | |||
+ | Mr et Mme CAILLETEAU sont installés dans la commune de St Martin-des-Noyers depuis 1973. C'est en 1983 qu'ils ont décidé de faire construire, rue de l'Aubépine. L'activité actuelle se divise en deux parties : le magasin avec un rayon de peinture, papiers peints, cadeaux, encadrements, radio, électroménager, location de matériel de nettoyage à sec de moquette, tenu plus principalement par Mme CAILLETEAU. Dans la partie artisanale M. CAILLETEAU s'occupe de réparation de télé, radio, petit et gros électroménager, antennes, etc. Cette activité s'exerce dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres. | ||
+ | Le magasin actuel étant trop petit pour présenter de la télé et du gros électroménager, un projet d'agrandissement est en train de voir le jour afin de développer cette vente. | ||
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+ | |||
+ | BAUDRY Jean-François, Café " LE TROQUET " | ||
+ | |||
+ | M. BAUDRY Jean-François travaille comme salarié pendant un an et demi. Puis en 1980, il achète le café. Il étend son activité à la restauration : | ||
+ | • Traiteur pour ceux qui le désirent avec livraison à domicile des plats commandés. | ||
+ | • Traiteur pour noces, banquets, repas de famille. | ||
+ | • Restaurant ouvert le samedi soir et le dimanche soir (dégustation de crêpes, galettes et autres.) | ||
+ | En plus de ces activités, il est dépositaire pour le loto national. Le café est le siège du club de billard anglais. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | VERDEAU Arlette, Café-Restaurant | ||
+ | |||
+ | Depuis 1967, Mme VERDEAU exploite le café-restaurant, c'est en 1976 que l'entreprise est devenue une affaire familiale avec Mr VERDEAU et leur fille. | ||
+ | Il est servi entre 30 et 40 repas journaliers ouvriers. Nous assurons également les banquets de classe et repas de famille sur commande. Le Café est ouvert 7 jours sur 7 avec seulement le lundi après-midi de fermeture. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | BOSSARD René, Commerce de Tabacs-Journaux-Revues | ||
+ | |||
+ | Le 1er février 1959, Mr et Mme BOSSARD prennent la suite de Mr SEILLIER comme débitant de tabacs et recette des Impôts dans un local provisoire chez M. SIRE Séraphin face à la mairie. | ||
+ | Le 6 janvier I960, ce commerce est transféré sur le lieu actuel, rue de l'Eglise. Le commerce existe toujours, tabacs, journaux, revues ainsi que la recette auxiliaire des impôts (la régie), cela depuis 30 ans. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | LHOMMEDE Paul, la Brenauderie | ||
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+ | Ayant connu plusieurs fois des périodes d'inactivité, je décide à ce jour de créer mon entreprise, diffuser des articles personnalisés auprès des entreprises. Comités d'entreprises, associations, clubs, sponsors, particuliers etc... | ||
+ | Les produits : Des tee-shirts, sweat-shirts, joggings, sacs coton, bobs ... | ||
+ | • la personnalisation : prénom, chiffres, lettres, clichés spéciaux, logos, sigles etc... ainsi qu'un choix important de motifs originaux (enfants, humoristiques, sportifs, groupes variétés, etc...) | ||
+ | • Je diffuse également des produits ménagers, d'hygiène et de soins, etc... | ||
+ | • Je négocie actuellement avec un fournisseur pour diffuser des articles en photos émaillées et je pense pouvoir les présenter à la clientèle d'ici quelques semaines. | ||
+ | Pour l'ensemble des produits, je propose des réalisations ou diffusions immédiates ou dans des délais courts. Je recherche la meilleure qualité et propose une garantie sur les produits. Je travaille actuellement à la Brenauderie, mon activité s'étend à la Vendée voire les départements limitrophes. | ||
+ | Travaillant beaucoup par prospection, je suis souvent en déplacement, les personnes désirant me voir sont invitées à prendre un contact téléphonique afin de leur éviter un déplacement inutile. | ||
+ | Pour toutes démarches, vous pouvez me contacter jusqu'à 21 heures 30 ainsi que le dimanche matin. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | COIF "DOMI" | ||
+ | |||
+ | Arrivée en novembre 1979, "et oui, presque dix ans déjà" et étant à l'étroit pendant plus de trois ans j'ai donc transféré le salon en mars 1983 où j'exerce actuellement avec une ouvrière et une apprentie. | ||
+ | La coiffure étant un artisanat et une mode qui demande toujours à être remis en question, j'ai pensé qu'il était bon d'innover. C'est pourquoi depuis quelques mois l'ordinateur a fait apparition dans le salon et a séduit une bonne partie de la clientèle en permanente. | ||
+ | Pour un service plus, je pense mettre sur pieds dans les jours à venir une gamme complète de soins capillaires contrôlé par l'ordinateur. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | RAMBAUD René, Coiffeur Hommes - Naturaliste | ||
+ | |||
+ | Installé depuis le 2 Janvier 1980, j'entame ma dixième année dans notre commune en qualité de Naturaliste et de Coiffeur Hommes. Deux activités bien différentes mais tout de même conciliables. | ||
+ | La naturalisation étant mon activité principale, je commencerai donc par celle-ci. | ||
+ | Du moineau au sanglier, je naturalise 150 à 200 animaux par an et je tiens à votre disposition un dépôt pour le tannage des peaux de toute sorte, sauvage ou domestique qu'un artisan tanneur réalisera dans un délai de deux mois. | ||
+ | Fils et petit-fils de coiffeur, je ne pouvais échapper à ma destinée. C'est pourquoi je me fais un plaisir de vous recevoir les mercredis, vendredis et samedis de 8 h 30 à 20 h dans mon salon de coiffure. Il est souhaitable de prendre rendez-vous afin de mieux organiser les journées pour vous servir plus rapidement. | ||
+ | Je profite de mon passage dans le bulletin communal pour remercier les gens qui m'ont fait confiance jusqu'à présent tant en taxidermie qu'en coiffure. | ||
+ | |||
+ | |||
+ | JOLLY Michel, Transporteur de presse | ||
+ | |||
+ | Afin de recevoir vos journaux Ouest-France, Presse Océan, ou l'Eclair tous les matins il vous faut des transporteurs, transporteurs matinaux à la réception des journaux à la Roche-sur-Yon, Place du Sully, à 2 heures du matin. | ||
+ | Les transporteurs sont au nombre de huit pour la Vendée. J'exerce ce travail depuis 1978, la tournée s'oriente dans la région Sud-Vendée et je livre quarante-deux communes pour terminer mes livraisons vers 8 h 30 du matin, heure variable suivant l'arrivée du camion en provenance de Rennes. | ||
+ | Les dépositaires de notre commune sont livrés par le relais de Saint-Prouant. | ||
==Foires et Marchés à Saint Martin des Noyers== | ==Foires et Marchés à Saint Martin des Noyers== |
Version du 16 février 2020 à 10:51
Sommaire
Agriculture à Saint Martin des Noyers
Artisanat, Commerces, Profession libérales depuis 1911
Professions | 1911 | 1926 | 1939 | 1954 | 1964 |
Arpenteur | Thomas | ||||
Articles de pêche, armurier | Billaudeau | Cottereau, Billaudeau | |||
Assurances | Thomas, Rousseau | Servant L., David Emile, Seiller Henri | |||
Attelles | Mandin | ||||
Aviculteur | Martin Eugène, Annereau Théodule | ||||
Battage (entreprise de) | Boudaud Henri (la Garmitière), Puaud François (la Riolière), Rabaud Constant (la Barre), Crépeau Célestin (le Petit Pontreau), Cottereau Aimé (Godines) | Carré, Rabaud Constant, Renaudin Camille | Carré C., Rabaud Constant, Renaudin Camille | ||
Bijoutier-horloger | Chataigner Abel | Chataigner Abel | Chataigner Joseph | Chataigner Marguerite, | Chataigner Marguerite |
Blanc et Lingerie | Melle Guillet, Maratier, Orveau, Gauducheau, Blanchard | ||||
Bestiaux | Barreau A. et Barreau Eugène | ||||
Boucher | Bonnin Arthur | Bonnin Arthur | Boilard Alphonse | Trichet Olivier, Boilard Alphonse, Bouhier Raymond | Trichet Olivier, Boilard André |
Bouilleur de cru | Véronneau Baptiste | Véronneau Baptiste, Villeneuve | Coopérative, Cossard | Coopérative | |
Boulanger
Boulanger-Patissier |
Lévêque Adolphe | Lévêque Adolphe | Guilbaud Raymond, Roger Emile | Guilbaud Raymond,
Roger Emile |
Guilbaud Raymond,
Roger Emile |
Bourrelier | Grelier Célestin, Bremaud Bazile | Mandin Anatole | Mandin Anatole | Mandin Roger | |
Brodeuse | Billaudeau Anne-Marie | ||||
Cabaretier | Chagnolleau Pierre, Boutin Pauline, Bonnin Constance | Seiller Mie-Josephe | |||
Cafetiers | Bretaud E., Renaudin A., Robert L., Pécard E., Vve Sire Théophile, Remaud L. au Détroit, Chatevaire A. à la Grève | ||||
Casseur de pierre | David Pierre | ||||
Chaisier | Morteau Toussaint (la Brenauderie), Arrivé Victor (la Brenauderie) | Morteau Toussaint | |||
Chantre | Lardière Aimé | ||||
Chapeliers | Blanchard, Maratier | Baudry Ferdinand, Maindron R. | Baudry Ferdinand | ||
Charbonniers | Cottereau M., Seiller P. | ||||
Charcutier | Macquin Adolphe, Denis Constantine | Veillet Joseph | Veillet Joseph | Veillet Joseph | Bretaud Eugène |
Charpentiers | Gautreau Marcel, Gautreau Eugène (l'Ouillette), Poitevineau Constant (l'Ouillette), Airieau Eugène (le Petit Pontreau), Coffineau Pierre (le Petit Pontreau) | Airieau Eugène, Gautreau Eugène, Coffineau Pierre, Poitevineau Constant | Bossard J., Gautreau M., Bourasseau M., Poitevineau Constant, Soulard René | Bossard Jean | Blanchard Achile, Guédon Pierre, Grellier Guy |
Charrons forgerons | Sire Théophile, Jousseaume Henri, Guillet Séraphin (les Touches), Jousseaume Clément (la Garmitière) | Sire, Guillet | Sire S., Guillet S., Bibard L., Bouancheau Cl., Robert L., Guillet J., Renaudin A., Sire T. | Sire Pierre | Sire Pierre, Pérocheau Jean |
Chauffeur | Rochereau Gustave | ||||
Chaussures | Bulteau, Renaudin, Roux, Guibert, Vve Gendronneau, Desfontaines | Crépeau Célestin | Crépeau Célestin | ||
Chaux | Gendronneau A, Renolleau | ||||
Chiffonniers | Morteau Auguste, Guédon Pierre (la Garmitière) | Morteau, Bardin | Echappé Georges | ||
Coiffeurs | Douteau M., Renaudin A.,Guibert G., Tourancheau Edmond | Gilbert René | |||
Commerçant en grains | Bonnin Alphonse, Bouancheau Ernest | Bouancheau, Carré | Boisseleau Emile | Boisseleau Paul, Jousseaume Clarisse, Boisseleau Emile, | Boisseleau Paul, Picard Roger |
Commerçant | Bregeon Benjamin, Maindron Robert, Baudry Ferdinand, | Bregeon Michel | |||
Commissionnaires | Hamon Elie, Jaulin Augustin, Travert Baptiste (la Garmitière), Bessin Célestin (la Brenauderie) | Bessin, Hamon, Travert avec Luçon | |||
Cordonniers | Neau Pierre, Bulteau François, Bulteau Alfred, Roux Louis, Gilbert René (Moineries) | Bulteau, Roux, Desfontaines | Bulteau A., Crépeau C., Desfontaines Victor, Mazouet Florent | Desfontaines Victor, Mazoué Florent | Gilbert Fernand |
Couronnes mortuaires | Gilbert, Renaudin, Gendronneau Samuel | ||||
Couturières | Neau Marie-Laure, Chagnolleau Eglantine, Guibert Aimée, Chevalier Armantine, Lamothe Marie-Louise, Gendronneau Alphonsine, Veronneau Hélène, Raison Marcelline, Vernageau Marie (les Touches), Jannière Valentine (la Garmitière), Billaud Victorine (la Riolière), Blanchard Marie-Adèle (la Couaire), Gilbert Marie (Lhommelet) | Mmes Gauducheau M., Gendron A., Sire S., Mlle Bretaud | Cottereau Madeleine, Rabaud Marie-Josephe, Gréau Renée, Teillet Josète, Gauducheau Agnès, Sire Armandine, Gendron Valentine, Lardière Léone, Chetaneau Thérèse, Travert Solange, | Gauducheau Agnès | |
Cuisinière | Bulteau Madeleine | ||||
Cycles | Cottereau M., Seiller P. | Cottereau Etienne | |||
Débitants de boissons | Remaud Louis (Bel Air en Forêt) Roger Adelphine, Bretaud Eugène | Sire, Vrignon, Bretaud, Renaudin, Bulteau, Remaud, Roger, Guibert | Roger Félicité, Baudry Ferdinand, Bossard René | ||
Drapier | Gauducheau Auguste Vve à la Couaire | ||||
Ebénistes | Godet, Gendronneau, Gilbert | ||||
Electricien | Seiller Pierre | Guinement Gabriel | Guinement Gabriel | ||
Entrepreneur (de carrières ?) | Blanchet Jean (la Brenauderie) | ||||
Entrepreneur terrassier | Bretaud Jean (l'Ouillette)
|
||||
Epiciers (et merciers en 1939) | Billaudeau René, Soulard Pierre (la Grève), Gréau Elie (la Cantonnerie) Sire Clémentine, Monnereau Constance, Douillard Blanche, Denis Marie, Hamon Marie, Coutand Philomène (les Touches), Suire Armance (la Grève) | Billaudeau, Maratier, Gréau, Gauducheau, Bardin, Crépeau, Bonnin-Bibard | Baudry Ferdinand, Boudeau Eug, Billaudeau R., Chetaneau Henri, Denis M., Gauducheau J., Guillet R., Hillaireau Charles, Maindron, Michenaud | Sire Marie, Hillaireau Berthe, Chetaneau Henri, | Sire Irène, Maindron Gilbert, Bouancheau Guy |
Expert agricole et géomètre | Thomas | ||||
Facteur
Facteur receveur Receveur PTT |
Nauleau Jean-Alexis
Remigereau Louis |
Gauducheau Marcel, Travert Edmond
Dauphin Charles |
Gauducheau Marcel, Travert Edmond | ||
Ferblantiers | Cottereau M., Seiller P. | ||||
Forgerons | Bibard Charles, Orveau René, Bibard Théophile, Bouancheau Clément, Guillet Jules (les Touches), Renaudin Emmanuel (la Grève), Renaudin Séraphin (la Grève) | Bibard, Bouancheau, Guillet, Renaudin, Orveau | Pérocheau Jean, Sire Jules, Sire Michel, Guillet René (les Touches), Bibard Ludovic, | Pérocheau Jean, Guillet René (les Touches), Renaudin André (la Grève) | |
Garagistes | Rondeau Henri, Ravon Jules | Gilbert Clément | Gilbert Clément | ||
Garde champêtre | Bretaud Ferdinand | ||||
Gardes-chasse particuliers | Bossard Gabr., Remaud L., Soulard C. | ||||
Grainetiers | Bretaud, Gauducheau | Bretaud E., Gauducheau J., | |||
Horticulteur | Gauducheau | ||||
Hôtel | Vrignon Aimé | Vrignon Aimé | Roger Félicitée | Roger Félicitée | |
Ingénieur | Rouillon Adrien | ||||
Instruments agricoles | Bibard, Bouancheau, Renaudin | ||||
Jardinier | Marteau Isaïe | ||||
Journaux | Melle Denis, Mandin, Vrignon | Roger Félicitée | |||
Légumes | Gauducheau, Maury | ||||
Lingères | Guillet Séraphie, Nauleau Zilda, Guibert Désirée, Martin Alphonsine (la Rochette), Gendronneau Hélène (la Cantonnerie) | Guillet S., Guibert D. | |||
Loueur de voitures | Gilbert Louis | ||||
Machines à coudre | Thibaud, Cottereau, Seiller | ||||
Maçonnerie | Butaud Prosper,
Gautreau Théodore (la Riolière), Gilbert Valentin (l'Ouillette), Gilbert Eugène (père de Clément Gilbert le Petit Pontreau), Sire Pierre (le Petit Pontreau), Gilbert Clément (Moineries) |
Gilbert Valentin, L’Ouillette | Frères Gilbert Valentin et Camille, l’Ouillette | Gilbert Camille décédé en 1957, Gilbert Valentin décédé en 1963 frères
30 ouvriers, travaux sur St Martin, La Roche, St Florent
|
Gilbert Arthémise veuve de Valentin avec 16 ouvriers dont ses enfants Gilbert Arthur et Camille décédé le 31/12/1972
Fin de l’entreprise en 1983 |
Maitre d’hôtel | Jousseaume Théophile, Gralepois Alexandre | ||||
Marchand de bestiaux | Barreau Eugène, Cauneau Marius (la Guignarderie) | Barreau Augustin | |||
Marchand d’étoffes | Gauducheau Jean | ||||
Maitre drapier
Marchand drapier Marchand de drap |
Blanchard Mathurin
Orveau Marie Maratier Gabriel, Thiré Philomène |
||||
Marchand en articles de Paris | Cauville Jean (la Couaire) | ||||
Marchands forains | Bardin, Crépeau | ||||
Marchand de porcs
Marchand de porcelets |
Mollé Louis, Jodet Eugène (la Garmitière) Thomas Pierre (la Grande Goupillière) | Thomas Louis | Thomas Clément | ||
Maréchal Expert | Douillard Henri | ||||
Maréchal ferrant | Roy Célestin, Gendronneau Marcellin | Roy Célestin | Robert L., Renaudin Albert à la Grève | Pérocheau Jean, Renaudin André | |
Mareyeurs | Hamon Louis., Maury H., Gautreau Rose | Hamon Jeanne, | Hamon Jeanne | ||
Mécanicien | Cottereau Etienne, Cottereau Maximin, Bouard Auguste, Seiller Georges | ||||
Médecin | Delaire Constant | Delaire | Delaire Constant | Debailleul René | Debailleul René |
Menuisiers | Thiré Clément, Gralepois Léon, Gilbert Eugène, Gendronneau Samuel, Gachet Alexis (la Riolière), Godet Marcel (l'Ouillette) | Godet Marcel, Gendronneau Samuel, Gilbert Eugène | Gendronneau Samuel, Gilbert Eugène, Godet Marcel | Jaunet Maxime, Jannière Joseph, | Connil Louis, Enfrein Claude |
Merciers | Billaudeau, Bonnin-Bibard, Maratier, Orveau, Gauducheau | ||||
Meuniers-minotiers (1939) | Thomas Pierre (la Riolière), Thomas Louis (le Chêne Rond), Gilbert Alphonse (Lhommelet) | Gilbert, L. Thomas | Gilbert Alphonse, Gilbert René frères | Gilbert René, Teillet Marcel (Lhommelet), | Gilbert René, Teillet Marcel |
Négociant | Augereau Jean | ||||
Nouveautés et tissus | Billaudeau, Maratier, Orveau, Gauducheau, Blanchard | Gauducheau Berthe | |||
Notaire | Thébault Julien | Thébault Julien | Thébault Julien | Fonteneau Henri | Fonteneau Henri |
Oeufs | Bessin, Travert, Debien | ||||
Parapluies et ombrelles | Sire, Lévêque | ||||
Pépiniériste | Gauducheau | ||||
Perruquiers | Guibert, Renaudin | ||||
Plumeuse | Brieau Emilienne | ||||
Poissons | Jaulin Léontine | Gautreau, Maury | |||
Quincailliers | Lévêque, Sire | Bibard Constant, | Bibard Constant André | ||
Receveur buraliste | Bertrand Sébastien | Seiller Henri | Billaudeau Anne-Marie | Bossard René | |
Sabotiers | Neau Pierre, Briaud Eugène, Guibert Gabriel, Renaudin Jean, Baudry Emile, Gréau Georges (la Brenauderie), Gralepois Aimé (la Riolière), Bulteau Pierre (l'Ouillette) | Renaudin Jean, Bulteau Pierre, Briaud Eugène, Guibert Gabriel | Bulteau Pierre, Briaud Eugène, Guibert Gabriel, Renaudin Jean, Gréau, Thomas | ||
Sages-femmes | Gilbert Hélène | Mme Gilbert-Levêque | Mmes Carré A., Gilbert H. | ||
Tabacs | Rousseau | Seiller Henri | Bossard René | ||
Tailleur d’habits | Gralepois Paul | Gralepois Paul | Gendron Arthur, Gralepois Paul | Gendron Arthur, Gralepois Paul, Renaudin René, Gendronneau Charles | Renaudin René |
Tailleuse | Denis Adeline | ||||
Tisserands | Renaudin Pierre, Renaudin Jean, Renaudin Aimé, Briaud Louis (la Couaire), Gauducheau Rose (la Couaire) | Gauducheau Auguste | Gauducheau Pascaline | Gauducheau Auguste dit Doudoute | Gauducheau Auguste dit Doudoute |
Transports voyageurs | Hamon Louis, Rochereau Gustave, Tourancheau Edmond, Travert Ed. | Tourancheau Edmond | Tourancheau Edmond | ||
Travaux publics | Blanchet | ||||
Tuiliers-briquetiers | Gendronneau Auguste, Gendronneau Isidore, Gendronneau Georges (la Cantonnerie) | Gendronneau Auguste, Renolleau | Nauleau Léon, Hermouet Robert-Lutton | ||
Viticulteur | Gauducheau | Gauducheau Jean de la Grève, Mme Hervé de la Fauconnière | |||
Volailles et gibiers | Debien Alphonse, Cartron | Debien Alphonse | Debien Alphonse, Gréau Anselme, Roger Samuel, Bernard Arsène, Chaigneau, Thomas Henri, Rousseau Marcel, | Debien Alphonse, Bernard Arsène, Thomas Henri, Rousseau Marcel, Poiraud Camille | |
Voyageur de commerce | Thibaud Octave | ||||
Professions | 1974 | 1984 | 1994 | 2004 | 2014 |
Bijoutier-horloger | Chataigner Marguerite | ||||
Boucher | Boilard André, Trichet Olivier | ||||
Bouilleur de cru | Coopérative | ||||
Boulanger-Patissier | Bonnin Joseph
Delavaud Claude |
||||
Café – débits de boissons | Blais Arlette
Bossard René Baudry Jean-François |
||||
Charcutier | Bretaud Eugène | ||||
Charpentiers | Blanchard Achille, Guédon Pierre, Grellier | Blanchard Achille,
Guédon Abel |
Lechaigne Joseph | Lechaigne Joseph | Lechaigne Joseph |
Charrons | Sire Pierre | ||||
Coiffeurs | Gilbert René | Rambaud René, Mme Orceau | Rambaud René, Mme Orceau, Mme Nauleau | Rambaud René, Mme Orceau, Mme Nauleau | |
Commerçant en grains | Boisseleau Paul, Picard Roger | Boisseleau Paul, Picard Roger | Boisseleau Paul, Picard Roger | Boisseleau Paul, | |
Commerçant Vin | Bregeon Michel | Bregeon Michel | Bregeon Jean-François | Bregeon Jean-François | Bregeon Jean-François |
Cordonniers | Gilbert Fernand | ||||
Couturières | Gauducheau Agnès | ||||
Drapier | Gauducheau Auguste | ||||
Ebénistes | |||||
Electricien | Cailleteau Joël, Elie Clément, Picard Jean-Claude | Cailleteau Joël, Elie Clément, Picard Jean-Claude | Cailleteau Joël, Elie Clément, Picard Jean-Claude | Cailleteau Joël, Elie Clément, Picard Jean-Claude | Elie Clément, Picard Jean-Claude |
Epiciers | Sire Irène, Maindron Gilbert, Bouancheau Guy | Maindron Gilbert, | Michenaud Laurent | Michenaud Laurent | |
Facteur
Facteur receveur Receveur PTT |
Boudjemaa Mohamed |
Melle Gubi |
|||
Forgeron | Pérocheau Jean, | Pérocheau Jean, | |||
Garagistes | Hermouet Pierre et Nauleau Eugène, Héraud Gilles | Bonnamy Jean-Louis | Ripaud Francis | Ripaud Francis | Ripaud Francis |
Menuisiers | Connil Louis, Enfrein Claude | Enfrein Claude | Enfrein Philippe, Fort Jean-Philippe et Guédon Abel, Brieau Claude | Enfrein Philippe, Fort Jean-Philippe et Guédon Abel, Brieau Claude | Enfrein Philippe, Fort Jean-Philippe et Guédon Abel, Brieau Claude |
Restaurant | Blais Arlette | ||||
Tisserand | Gauducheau Auguste | ||||
Tuiliers briquetiers | Nauleau Roger et Claude, Hermouet-Lutton | Nauleau Roger et Claude, | Nauleau Roger et Claude, | Nauleau Jacques | |
Volailles | Debien Alphonse, Bernard Arsène, Thomas Henri, Rousseau Marcel, Poiraud Camille | Debien Alphonse, Bernard Arsène, Thomas Henri, | Debien Alphonse, Bernard Arsène, Thomas Dominique, | Bernard Arsène, Thomas Dominique, | Thomas Dominique, |
Lieux d'exercice depuis 1930
- PLACE DE L’EGLISE :
- N° 4 – Café : BRETEAU Eugène (partie droite)
- N° 4 - Boucherie, charcuterie : BARREAU Guy, puis TRICHET Olivier
- N° 4 - Traiteur, noces et banquets : TRICHET Alice
- N° 4 - Boulangerie – pâtisserie : PAULEAU Martin (même emplacement que BARREAU Guy)
- N° 12 – Médecin : DELAIRE Constant
- N° 12 – Bourrelier : MANDIN Anatole (emplacement tabac journaux), MANDIN Roger (fils de Anatole)
- N° 24 - Grains, engrais : BREGEON Benjamin (à l’emplacement de la cure actuelle),
- N° 30 - Café, buraliste : SELLIER Henri
- N° 30 - Banque, assurances : CREDIT AGRICOLE (même emplacement que café SELLIER Henri)
- N° 30 – Infirmière : JUCHEREAU Mylène
- N° 38 - Electricité, plomberie, dépannage radio-télé : GUINEMENT Gabriel, puis CAILLETEAU Joël
- N° 38 – Coiffure : ORCEAU Dominique (à l’emplacement de GUINEMENT Gabriel)
- N° 38 - Vins et spiritueux : ORCEAU Claude
- N° 40 – Poissonnerie : HAMON Louis
- N° 40 – Médecin : CANDEAU Yves-Olivier (à l’emplacement de HAMON Louis)
*
- N° 20 - Quincaillerie, réparations vélo : COTTEREAU Maximin
- N° 20 - Réparation vélos : COTTEREAU Etienne
- N° 30 - Boulangerie, pâtisserie : GUILBAUD Raymond, puis BONNIN Joseph, puis BONNIN Jean- Christophe, puis PALUSSIERE Pierre, puis POIRIER Mickael
- N° 52 – Cordonnier : DESFONTAINES Victor
- N° 64 – Epicerie : CHUPEAU Ernestine, puis BOUANCHEAU Guy
- N° 64 – Kinésithérapeute : CHATRY Christian, puis OZIEL Gérald (même emplacement que CHUPEAU Ernestine)
- N° 68 – Assurances : GUILBAUD Raymond
- N° 69 - Réparations vélos : SELLIER Georges
- N° 69 - Café, restaurant, tabacs, journaux : BOSSARD René
- N° 72 - Tailleur hommes : GRALEPOIS Paul
- N° 72 - Tailleur hommes : RENAUDIN René
- N° - Coiffeur, sabotier, café : RENAUDIN Alexandre (père de René) (petite impasse)
- N° - Sabotier : GILBERT René(petite impasse)
- N° 117 - Négociant grains, engrais, vins : BREGEON Benjamin, puis BREGEON Michel,
- N° 117 - Caves, vins fins : BREGEON Michel, puis BREGEON Jean-François
- N° 141 - Electricité, réparation vélos : BOUARD Auguste
- N° 141 – Epicerie : BOUARD Auguste
- RUE DE L’AUBEPINE :
- N° 30 - Electricité, articles ménagers : CAILLETEAU Joël
- N° 134 - Dessinateur, projeteur : BARRY Mickael
- N° 176 – Ostéopathe : DELVARD Coraline
- N° 176 – Coiffeuse : ROGER Ophélie
- N° 190 – Psychologue : VENNET Cécile
- N° 191 - Chirurgien-dentiste : GIRAUD Denis, puis CURIMAN Paul et Judith
- N° 221 - Banque, assurances : CREDIT MUTUEL OCEAN
*
- N° 8 – Menuiserie : GENDRONNEAU Samuel (angle ex-chemin du cimetière)
- N° 8 - Plombier, chauffagiste : TROUSSICOT X? (même emplacement que GENDRONNEAU S.)
- N° 8 – Peintre : BULTEAU Lionel (même emplacement que GENDRONNEAU S.)
- N° 29 - Artiste peintre : CHANN MALI (TOSTE Léo)
- N° 51 - Bouilleur de cru : VERONNEAU Jean
- N° 123 – Notaire : FONTENEAU Henri
- N° 130 - Charpentier, menuisier : LECHAIGNE Joseph
- N° 393 - Transport de presse : JOLLY Michel
*
- N° 3 - Abattoir de volailles : ROGER Samuel
- N° xx - Matériels d’occasion : NICOLLEAU Armand
*
- N° 2 - Machines agricoles : CARRE Camille, puis CARRE SA (Antoine, Eloi et Rémi, puis Benoît fils d’Antoine)
- N° 3 – Rue des Artisans - Charpente, menuiserie : PAPIN Dominique
- N° 4 – Tuilerie : LUTTON Georges et HERMOUET Robert
- N° 4 - Charpente, menuiserie : FORT Jean Philippe, puis FORT Mathieu
- N° 5 – Rue des Artisans - Plomberie, électricité, chauffage : BRIDONNEAU Olivier
- N° 7 - Tuilerie-Briqueterie : GENDRONNEAU Charles
- N° 7 - Tuilerie-Briqueterie : GUIBERT Maximin (même emplacement que GENDRONNEAU Frères, puis GUIBERT Emile et NAULEAU Léon, puis NAULEAU Claude et Roger, puis NAULEAU Jacques
- N° 7 – Maçonnerie : JAUD Laurent
- N° 8 - Plomberie, électricité, chauffage : BERTHOME François
- N° 9 – Rue de la Tuilerie - Négociant grains, engrais : RIVIERE Frères (en remplacement de Tuilerie Nauleau)
- N° 10 - Négociant grains, engrais : BOISSELEAU Paul, puis CAVAC
- N° 11 – Rue de la Tuilerie - Mécanique générale de précision : NICOLLEAU Patrice
- N° 15 - Taxis, ambulances : DEMOY Stéphane
- N° 15 - Garage automobiles : GRIVEAU Patrice (même emplacement que DEMOY Stéphane)
- N° 17 - Matériels d’occasion : BLAIS Michel
- N° 17 - Maçon, couverture, carrelage : ROGER Sébastien (même emplacement que BLAIS Michel)
- LA BARRE :
- N° - Travaux agricoles, battages : RABAUD Constant
- N° - Mandataire en immobilier : RATIER Marie
*
- N° - Photographe : GAUCHER Philippe
- N° - Charpente, scierie : BLANCHARD Célestin puis BLANCHARD Achille
*
- N° - Charpente, menuiserie : PAPIN Dominique
- N° - Maçonnerie, couverture : ROUSSEAU C. (même emplacement que PAPIN Dominique)
*
- N° 7 - Garage automobiles : HERAUD Gilles
- N° 7 – Maçonnerie : GUILMINEAU Mathieu
*
- N° 7 - Entretien jardins, espaces verts : CHAGNOLLEAU Michel puis CHAGNOLLEAU Gaël
*
- N° - Electricité, plomberie, chauffage : BRIDONNEAU Olivier
- RUE DE LA MOINERIE :
- N° 29 – Expert : THOMAS Jules
- N° 29 – Médecin : THOMAS Philippe puis BAILLY Jean-Louis
- N° 164 – Assurances : MILLET Claudette
- N° 171 - Chaussures (vente) : GILBERT Marie,
- N° 171 – Coiffure : GILBERT René,
- N° 290 – Multiservices : de PAULE Claude
- N° 312 – Maçonnerie : ROGER Eugène
- N° 383 - Mandataire en immobilier : CHAVIGNAUD Françoise
- N° 494 – Services à la personne : DE BARROS Christian
*
- N° 12 – Café : COUTAUD Joseph
- N° 12 – Epicerie : GUILLET Louise
- N° 12 – Forgeron : GUILLET Jules, puis GUILLET René (neveu de Jules)
*
- N° - Véhicules occasion : GSR Négoce – Guillaume et Serge ROUSSELOT
- N° - Charpente menuiserie : LECHAIGNE Joseph
*
- N° 1 – Menuiserie : GRIVEAU Sébastien
*
- N° 43 - Alimentation générale : MAINDRON Gilbert puis MICHENEAU Laurent, puis AGOGUE Christophe
*
- N° 33 - Rénovation de meubles : GERMOND Paul
*
- N° 7 - Marchand de tissus : BAUDRY Ferdinand (père)
- N° 7 - Café, épicerie : BAUDRY Ferdinand (père), puis BAUDRY Ferdinand (fils)
- N° 7 - Café, tabacs, journaux, restaurant BAUDRY Jean-François
- N° 7 - Café, tabacs, journaux : BOUTEILLER Jean-François (même emplacement que BAUDRY Jean-François), puis X?, puis GRELAUD Fabrice, puis DRILLAUD Bertrand, puis SIONNEAU Gaëtan
- N° 25 – Kinésithérapeute : CHATRY Christian
- N° 25 - Banque, assurances : CREDIT AGRICOLE (même emplacement que CHATRY Christian)
- N° 25 - Coiffure, taxidermie : RAMBAUD René (même emplacement que CHATRY Christian)
- N° 64 - Epicier : MAINDRON Robert (père de Gilbert), puis MAINDRON Gilbert
- N° 64 - Commerce de bières : ORCEAU Christian
- N° 94 - Forge, maréchal ferrant, café : ROBERT Louis
- N° 94 - Forge, maréchal ferrant, station-service : PEROCHEAU Jean (même emplacement que ROBERT Louis)
- N° 182 - Transport de voyageurs, taxi : BARRETEAU Gérard
- N° 182 – Assurances : BARRETEAU Gérard
- N° 206 – Pharmacie : MAURY Alexis, puis BENASLI Mohamed, puis GENAUDEAU Christel, puis RAVON Christelle
- N° 350 - Fabrication de remorques : BIBARD Daniel, puis BIBARD Mickaël
- N° 408 – Plâtrier : SORIN Patrice
- N° 458 - Plomberie, électricité, chauffage : ELIE Clément
- N° 490 - Garage automobiles : HERAUD Gilles, puis HERAUD Gilles et AMIEL Nicolas
- N° - Fabrique de Meubles : SOVEM, puis SA ATELIER du CHOUAN, puis SA MEUBLES D’ART MV
- N° - Transports : TLM Laurent MICHENEAU (même emplacement que SOVEM)
- N° - Fabrique d’aliments du bétail : VENDEE ALIMENTS (Debien Alphonse, Gilbert René)
- N° - Fabrique d’aliments pour animaux domestiques : ADP (même emplacement que VENDEE ALIMENTS)
*
- N° 3 - Charpente, menuiserie : BRIEAU Claude
- N° 27 - Abattoir de volailles : DEBIEN Alphonse, puis SA DEBIEN Alphonse (fils)
- N° - Charron : JOUSSEAUME Clément
- N° - Epicerie : BOUDAUD Auguste
- N° - Epicerie : PENAUD Marcel
- N° - Chiffonnier : ECHAPPE Georges
- N° - Courtier (vins) : JAUD Marcel
- N° - Plomberie, électricité, chauffage : TESSIER Pascal
- N° - Couturière : ROBERT Anne
*
- N° 32 - Abattoirs et élevage de pigeons : BOILARD Michel, puis BOILARD Christophe
- N° 56 - Négociant en bestiaux : BARREAU Auguste
- N° 56 - Abattoirs de volailles : BERNARD Arsène, puis BERNARD Augustine, puis BERNARD et Fils (Gérard) (même emplacement que BARREAU Auguste), puis Groupe ARRIVE (SAINT FULGENT),
- N° 58 – Serrurerie : GENTREAU Alain (même emplacement que BERNARD Arsène)
- N° - Maçon : MARY Pierre
- N° - Marchand de bestiaux : BORDRON Auguste
- N - Epicerie : BESSIN Célestin
- N° - Travaux publics : BLANCHET Alfred
- LE HAUT SABLON :
- N° - Peintre, décorateur : MIRE Julien
*
- N° 4 – Café : REMAUD Louis, puis TEILLET Maurice
- SIPPE :
- N° - Entrepreneur de battages : LABOUREUR Guy et Jean
*
- N° - Minoterie : TEILLET Marcel, puis GILBERT René (père) et Alphonse, puis GILBERT René (fils)
*
- N° - Charpente, scierie : PETE Alexandre puis GRELIER Guy (route de Fougeré)
- N° - Epicerie : GREAU Albert (route de Fougeré)
- N° - Forge, travaux agricoles : RENAUDIN Albert et Camille, puis RENAUDIN Raymond (fils d’Albert)
- N° - Forge, maréchal ferrant : CAILLAUD Ernest (même emplacement que RENAUDIN Raymond) puis RENAUDIN André
- N° - Charpente, menuiserie : GRELIER Guy et PETE Rémi
- N° - Installations et maintenance élevages, soudure, maintenance : GUILBAUD André (même emplacement que GRELIER Guy)
*
- N° - Menuisier : GRIVEAU Sébastien
- RUE ABEL CHATAIGNIER :
- N° 5 - Café, hôtel : VRIGNON Aimé, puis ROGER Félicité
- N° 5 – Tabac : SELLIER Henri (à droite du café VRIGNON Aimé)
- N° 5 - Café, hôtel, restaurant : VERDEAU Arlette (emplacement VRIGNON) puis CHIRON Anthony, puis BOURROULEC Philippe, puis CHEVALIER Steve
- N° 27 – Café : PICARD Clarisse
- N° 27 - Négoce grains, engrais, charbon : PICARD Clarisse puis PICARD Roger
- N° 24 - Horloger, bijoutier : CHATAIGNER Joseph puis CHATAIGNER Marguerite
- N° 24 - Chirurgien-dentiste : GIRAUD Denis (même emplacement que CHATAIGNER Joseph)
- N° 24 - Institut de beauté : ROUSSELOT Amandine (même emplacement que CHATAIGNER Joseph)
- N° 30 – Banque : Caisse d’Epargne et de Prévoyance, responsable DOUILLARD Marie-Thérèse
- N° 43 – Coiffeur : TOURANCHEAU Edmond
- N° 43 - Transports de voyageurs, commissionnaire : DRAPEAU Jean puis TOURANCHEAU Edmond, puis TOURANCHEAU Jean
- N° 50 - Tissus, vêtements : GAUDUCHEAU Berthe
- N° 50 - Auto-école : MASSON Bernard (même emplacement que GAUDUCHEAU Berthe)
*
- N° 13 – Tissus : ORVEAU Veuve de René ORVEAU
- N° 13 – Café : BONNIN Arthur (même emplacement que ORVEAU Mme)
- N° 13 - Boucherie : BOILARD Alphonse, puis André (même emplacement que café BONNIN Arthur
- N° 22 – Charcuterie : BRETEAU Eugène (maison de René BOUDAUD)
- N° 23 - Cordonnerie, chaussures : CREPEAU Célestin
- N° 26 – Menuiserie : GILBERT Eugène puis JAUNET Maxime
- N° - Sabotier : BRIAUD Eugène puis BRIAUD André
- N° - Charpentier : GAUTREAU Marcel
- N° - Sage-femme : GILBERT Hélène
*
- N° 4 – Charcutier : VEILLET Joseph
- N° 23 - Cordonnerie, chaussures : GILBERT Fernand
- N° 57 – Couturière : GAUDUCHEAU Agnès
*
- N° - Epicerie : GAUDUCHEAU Jean
- N° - Forgeron : BOUANCHEAU Clément (emplacement du central téléphonique)
- N° 32 - Agent d’assurances : JOUSSEAUME Maximin,
- N° 56 - Boulangerie pâtisserie : MATHE X?, puis ROGER Emile, puis DELAVAUD Claude, puis BOIDET Franck, puis CONNIL Dominique
- N° 73 – Charcuterie : BRETAUD Eugène, puis HERBRETEAU Michel, puis PLANCHIN Jean-Jacques
- N° 73 - Assurance (courtier) : ROUILLON Hubert (même emplacement que BRETAUD Eugène)
- N° - Forgeron : ORVEAU René
- N° 74 - Négoce grains engrais : BOISSELEAU Emile, puis BOISSELEAU Paul, puis BOISSELEAU Paul (fils)
- N° 92 - Forge, station-service : BIBARD Ludovic, puis André et Ludovic (fils)
- N° 92 - Tissus, vêtements, station-service : GAUDUCHEAU Berthe
- N° 110 - Quincaillerie, plomberie : BIBARD André
- N° 113 – Assurances : GOURMAUD Raymond
- N° 124 - Auto-école : MASSON Bernard puis ABCDE
- N° 130 - Charron, Forgeron, café, quincaillerie : SIRE Théophile
- N° 130 - Scierie, charpente : SIRE Pierre, (même adresse que SIRE T.)
- N° 130 - Quincaillerie, épicerie : SIRE Irène (épouse SIRE Pierre)
- N° 139 - Auto-école : MASSON Emmanuel (ancienne mairie)
- N° 146 – Couturière : SIRE Armandine
- N° 146 – Charron : SIRE Séraphin
- N° - Epicerie : BRIAUD Joseph ?
- N° - Tabacs : ROUSSEAU X?
- N° - Tailleur : GENDRON Arthur
- N° - Epicerie : HILAIREAU Charles
- N° - Epicerie : MONNEREAU Pierre
- N° - Cordonnier : MAZOUET Florent
*
- N° 271 - Négoces de porcs : THOMAS Clément, puis MILON Gabriel
- N° 281 - Plomberie, électricité, chauffage : DECOU Jean Louis
- N° 338 – Maçon : GILBERT Henri
- N° 449 – Maçonnerie : LOIZEAU Sylvain
- N° - Plâtrerie, carrelages : LHERMITE Sébastien
*
- N° - Minoterie : THOMAS Louis
*
- N° - Charpentier : BOURASSEAU Marcel
*
- N° - Centre équestre : MARZI Virginie
- RUE DES ORMEAUX :
- N° 11 - Epicerie, chapeaux : BILLAUDEAU Anne-Marie
- N° 29 - Transport de voyageurs : ROCHEREAU Gustave
- N° 29 - Forge, maréchal ferrant : ROY X?,
- N° 36 – Médecin : ROUILLON Jacques
- N° 115 - Abattoir de volailles : ROGER Samuel, puis BERNARD Arsène
- N° 115 - Fabrication articles de pêche : AMIAUD Michel (même emplacement que ROGER Samuel)
- N° 365 - Plâtrerie, carrelage : POIRAUD Didier
- N° 575 - Plomberie, électricité, chauffage : ROGER Alain
- N° 575 - Plomberie, électricité, chauffage : ROGER Samuel (même emplacement que ROGER Alain)
- N° 575 – Maçon : ROGER Sébastien (même emplacement que ROGER Alain)
*
- N° - Maçon : ROGER Christophe
- N° - Réfection et confection de bâches : BLANCHET Emmanuel
*
- N° 5 - Plomberie, électricité, chauffage : ROGER Samuel (fils de Alain ROGER)
- N° - Plomberie, électricité, chauffage : PICARD René
- N° - Plomberie, électricité, chauffage : BERTHOME François
- RUE DE LA POSTE :
- N° 34 - Menuiserie, ébénisterie : BREGEON Alain
- N° 40 – Tatoueur : FORME TATOO PRO
- N° 78 - Coiffure : NAULEAU Sylvie
- N° 90 – Auto-école : MASSON Emmanuel
- N° 90 - Dépôt de pains et pâtisseries : PAULEAU Martin
- N° 90 - Esthéticienne : NAULEAU Justine
- N° 96 - Abattoir de volailles : ROUSSEAU Marcel
- N° 117 – Postes et télécommunications : LA POSTE
- N° 124 - Garage automobiles : RONDEAU Henri, puis GILBERT Clément, puis HERMOUET Pierre et NAULEAU Eugène (face à l’ancienne poste)
- N° 124 - Plomberie, électricité, chauffage : PICARD Jean Claude (même emplacement que RONDEAU Henri)
*
- N° 11 - Bureau d’études bâtiments : SEILLER Philippe
- N° 16 - Négociant grains, engrais : BOUANCHEAU Ernest, puis BOISSELEAU Emile puis BOISSELEAU Paul (père)
- N° 16 – Infirmière : GILBERT Béatrice, puis JUCHEREAU Mylène
- N° 62 – Notaire : THEBAULT Julien
- N° 62 – Médecin : DEBAILLEUL René (même emplacement que THEBAULT Julien)
- N° 94 - Garage automobiles : GRIVEAU Patrice
- N° 99 - Centre de Formation : AMIAUD Florence et COURTOIS Sandra
- N° 110 - Scierie, charpente : AIRIEAU Eugène puis BOSSARD Jean, puis menuiserie en plus GUEDON Pierre puis GUEDON Abel et FORT Jean-Philippe
- N° 266 - Plâtrerie, carrelage : POIRAUD Didier
- N° - Garage automobiles : RAVON Jules
*
- N° 29 – Menuiserie : ENFREIN Claude puis ENFREIN Philippe
- N° 49 – Garage automobiles: HERMOUET Pierre et NAULEAU Eugène, puis BONNAMY Jean-Louis, puis RIPAUD Francis, puis RIPAUD Ludovic
- N° 125 – Banque Caisse d’Epargne et de Prévoyance (responsable DOUILLARD MT)
- N° - Forgeron : GILBERT Edmond
- N° 153 - Scierie, charpente : POITEVINEAU Constant (beau-père de Ferdinand BAUDRY)
- N° 197 - Menuiserie : JEANNIERE Joseph puis CONNIL Louis
- N° 235 – Tapissière d’ameublement : BIRONNEAU Geneviève
- N° 435 – Maçon : GILBERT Valentin, puis GILBERT Valentin Veuve et fils
- N° - Abattoir : TRICHET Olivier en face du N° 355,
- N° - Tourneur sur bois : TRICHET Marc (même emplacement que TRICHET Olivier)
- N° - Serrurerie : GENTREAU Alain (même emplacement que TRICHET Marc)
- N° - Sabotier : GREAU Anselme (père)
- N° - Sabotier : BULTEAU Alfred
- N° - Sabotier : BULTEAU Pierre (à l’angle de la rue Clovis JOUSSEAUME et de la route de Ste Cécile)
- N° 580 – Forge-maréchalerie : NAULEAU René
- N° 580 – Peintre en bâtiment : LHOMMEDE Hervé (même emplacement que NAULEAU René)
- N° 667 - Plomberie, électricité, chauffage : PICARD René
*
- N° 105 - Location de tentes, parquets : BLANCHABRI
- N° 395 - Garages automobile, dépannages, locations : RIPAUD Francis puis RIPAUD Ludovic
*
- N° 130 - Travaux publics : GARNIER Jonathan
*
- N° 5 - Abattoir de volailles : THOMAS Henri (fils), puis THOMAS Dominique
- N° 12 - Travaux publics : PICARD Michel et Nicolas
- N° - Sabotier : THOMAS Henri (père de THOMAS Henri)
- N° - Charpentier : POITEVINEAU Jules
*
- N° 4 – Peintre : CLEMENCEAU Georges
- RUE DU PETIT BOURBON :
- N° 83 - Transport de voyageurs : BARRETEAU Gérard, puis THUEUX Caroline (fille)
- N° 130 - Abattoir de volailles : POIRAUD Camille
- N° 130 - Centre de désossage et conditionnement de volailles : POIRAUD Camille
- N° 130 - Transformation de viandes : Société ARCHAMBAUD
- N° 182 – Assurances : MARTIN Eugène
- N° - Abattoir de volailles : BRET Lucien, puis GREAU Anselme (père)
- N° 190 - Epicerie : CHETANEAU Henri (emplacement maison Michel ROUSSEAU)
- N° - Maçon : TRAVERT Victor
- N° 400 - Articles de pêche : AMIAUD Michel, AMIAUD fils
*
- N° 1 - Services administratifs : DRAPEAU Serge
- N° 6 – Epicerie : CAILLAUD Pierre
- N° 27 – Tisserand : GAUDUCHEAU Auguste (père) puis GAUDUCHEAU Auguste (fils)
- N° - Couturière : TEXIER Thérèse
- N° - Abattoir de volailles : CHAIGNEAU Marcel
- N° - Maçon : TRAVERT Victor (antérieurement au Petit Bourbon)
- N° - Charpentier : SOULARD Auguste
- N° - Tisserand : SOULARD René
*
- N° - Scierie : BAUDRY Pierre
- N° - Couturière : BRETAUD Marie-Josèphe
- N° - Vente de chaussures : GENDRONNEAU Marceline
- N° - Coiffeur : GUIBERT Gabriel
- N° - Voiturier : HAMON Elie
- N° - Charron : JOUSSEAUME Henri
- N° - Mécanicien : LEBOEUF Armand
- N° - Marchands de poissons : MAURY Henri
- N° - Epicier : REVEILLERE Joseph Michelle
- N° - Couturière SELLIER Emma épouse BOUARD Auguste
- N° - Mécanicien : SELLIER Pierre
Industries
en cours de développement
ACTIVITES ECONOMIQUES DANS NOTRE COMMUNE en 1987 (extraits de bulletins communaux)
S.A.R.L. BERNARD et Fils - Volailles en gros
Entreprise familiale créée par Monsieur et Madame BERNARD Arsène en 1945 devient SARL BERNARD et FILS en 1974. A la création : abattage, conditionnement et expédition de volailles ; puis élargissement du marché, avec la découpe de volailles (frais et congelé), et une production de « VOLAILLES FERMIERES DE CHALLANS ». Effectif 1985 : 20 personnes, dont 15 hommes et 5 femmes, 15 résidant à Saint-Martin et 5 à l'extérieur. Le planning de production est établi avec 6 mois d'avance, en coordination avec les Maisons d'Aliments et les éleveurs. Chaque jour, la Société effectue elle-même le ramassage de ses volailles vivantes. La SARL BERNARD et FILS commercialise ses produits sur la France entière, dans les grandes surfaces, chez les détaillants et les grossistes. Elle assure elle-même ses livraisons avec ses camions frigorifiques, dans les départements de la VENDEE, LOIRE-ATLANTIQUE et CHARENTE. Elle fait appel aux Sociétés de transport pour toutes autres destinations.
Etablissements DEBIEN Alphonse – Centre agréé d’abattage et de conditionnement de volailles, volailles en gros, fraiches, congelées, désossées
Les Etablissements DEBIEN fondés en 1923 par Alphonse DEBIEN, le père de l'actuel patron, ont toujours été spécialisés dans la volaille. Démarrant modestement par l'abattage de quelques poulets collectés dans les fermes de la commune, puis sur les marchés environnants, la Société aborde dans les années 70 un nouveau domaine : le surgelé. Un secteur qui prend très rapidement une place importante dans la société. Au point qu'en début 80, on décide de ne faire plus que du surgelé. Aujourd'hui la SA DEBIEN est le N° 1 sur le marché français de la volaille surgelée à sec. La conséquence de ce choix vers le surgelé a été de se doter d'un équipement de pointe au niveau abattage, conditionnement et surgélation. La production annuelle atteint 9 000 tonnes de produits finis. Parallèlement à l'amélioration de son outil de fabrication, la SA DEBIEN a développé une politique d'intégration de l'ensemble du cycle de production de l'élevage au transport vers les clients. L'aliment est fourni par Vendée-Aliments où il y a une vingtaine d'employés. A l'abattoir et à l'atelier de découpe travaillent 160 personnes. La gamme DEBIEN compte tout l'éventail de volailles : Poulets, dindonneaux, pintadeaux, poules, coqs, coquelets et canards (volailles entières et découpées). A noter que les canards sont sous-traités dans des abattoirs voisins. Marquant sa volonté d'évolution, la S.A. DEBIEN est la première en Vendée qui fabrique depuis cette année de la viande fibrée. Cette matière première sert à l'élaboration des pâtés, saucisses et plats cuisinés. 20 % seulement des produits sont conditionnés sous la marque DEBIEN, l'essentiel est fabriqué à la marque des distributeurs. La S.A. DEBIEN travaille avec les plus grandes sociétés françaises spécialisées dans le surgelé. Avec ses 160 personnes dont 75 résident à Saint-Martin et 170 MF de chiffre d'affaire, la S.A. DEBIEN contribue largement de façon directe et indirecte au développement de la commune.
SA POIRAUD Camille Centre de Désossage et de Conditionnement de Volailles
Entreprise familiale qui en 1975 devient une S.A. (Société Anonyme). L'activité de l'entreprise est basée sur la découpe de dindes (escalopes, rôtis). Les volailles sont abattues à Chantonnay puis acheminées vers Saint-Martin à l'entreprise. Le développement de cette production de découpe fut rapide grâce à une clientèle connue et une viande peu chère. La S.A. POIRAUD passe des contrats avec éleveurs et maisons d'aliments. Les éleveurs sont à 30, 40, 80 kms de St Martin. Malgré une forte concurrence, l'entreprise joue sur la qualité, la fraîcheur. Elle approvisionne les grandes surfaces (60 %), les grossistes et collectivités (40 %} et rayonne sur l'Ouest, le Sud et la région parisienne. La S.A. POIRAUD livre 3 fois par semaine dans les grandes surfaces par ses propres camions et tous les jours en région parisienne par des livreurs. L'entreprise a commencé avec 6 ouvriers en 1973, aujourd'hui, elle emploie 38 personnes, 1/3 femmes, 2/3 hommes. 32 habitent à Saint-Martin et 6 à l'extérieur. . - * Un vétérinaire attaché aux abattoirs de St Martin effectue des prélèvements de viande pour la qualité ; de plus la S.A. POIRAUD envoie à un laboratoire spécifique à la Rochelle tous les 8 jours pour l'analyse de la viande.
Ets THOMAS et Fils, Centre d’Abattage, Découpe, et Commercialisation de Volailles
L'activité de l'entreprise consiste à l'abattage, la découpe et la commercialisation de la volaille. Elle a été créée par Monsieur THOMAS Henri en 1946, il travaillait seul avec sa mère. Le ramassage avait lieu dans les fermes et sur les marchés de la région. Dans les années 1955-1960, avec l'arrivage de l'élevage industriel l'effectif passe à 10 à 12 personnes. Par la suite, lors de la construction du nouvel abattoir en 1978, l'entreprise crée de nouveaux emplois. Actuellement 30 personnes y travaillent : 20 hommes et 10 femmes. 9 salariés résident à l'extérieur de St Martin et 21 habitent la commune. Les volailles sont destinées à la France entière et un peu à l'exportation dans les pays tiers. L'entreprise fournit ;
• 20% de commerces traditionnels. • 50 % de grossistes. • 30% de collectivités (cantines et hôpitaux)
Les approvisionnements sont effectués chez des particuliers, les mises en place sont planifiées par les maisons d'aliments avec un prix déterminé. Les produits sont livrés par nos soins et par les transports frigorifiques professionnels. Les carcasses sont vendues à des entreprises qui les transforment en aliments pour animaux domestiques. Les déchets et les plumes sont enlevés journellement par l'équarrissage. L'entreprise produit plus de 3000 tonnes de volailles mortes par an.
BOILARD Michel - Les Pigeons du Grenier
Entreprise à caractère familial créée en 1961 par moi-même, passage en société au cours de l'année 1987. Nous sommes actuellement trois personnes à assurer le ramassage, l'abattage et la mise sous films. Pour ce qui est de l'alimentation de notre chaîne, celle-ci est approvisionnée à la fois par notre propre élevage et par de nombreux particuliers. Nous abattons et expédions 800 pigeons environ par jour. Ces produits étant livrés exclusivement auprès de grossistes dans toute la France et sous peu à l'étranger. Quant aux livraisons, quelle que soit la destination, elles sont assurées uniquement par des sociétés de transports.
S.A. VENDEE-ALIMENTS, Fabrique d’aliments du bétail
Elle fut créée en 1968. C'est une affaire de famille qui s'est créée pour passer du stade artisanal à un développement industriel. La S.A. Vendée Aliments achète les matières premières : blé, maïs en Vendée et dans les départements limitrophes, et du tourteau à l'étranger. Elle les transforme en aliments pour bétail (70 % aliments volailles et pondeuses et 30 % aliments bovins, vaches laitières, chiens, porcs, lapins) qu'elle revend dans les mêmes départements. La société achète à des coopératives par l'intermédiaire d'un courtier et aussi à des marchands de grains. Les marchandises sont acheminées en vrac jusqu'à Saint Martin et redistribuées en vrac sauf pour les petits clients (livraisons par sacs). La S.A. Vendée Aliments prend ses livraisons en provenance de l’étranger aux ports du Montoir, la Pallice, Lorient, Bordeaux. Elle importe du tourteau de soja en provenance du Chili, du Brésil et de la farine de poisson en provenance de la Norvège et du Danemark). A Benet, elle achète de la farine de viande (usine d'équarrissage). Des techniciens étudient des mélanges de différentes farines et l'adaptent pour chaque animal. La S.A. Vendée Aliments travaille avec les éleveurs, ceux-ci passent commande par téléphone, par télex. Elle emploie 19 personnes dont 13 de Saint Martin et 6 de l'extérieur. La S.A. Vendée Aliments s'est automatisée. Elle ne cesse d'améliorer les rendements et la qualité par l'installation de nouvelles techniques.
CARRE S.A., Construction de matériel agricole
1- FICHE D'IDENTITE
• Société Anonyme au capital de 250 000 F • Construction de matériel agricole • PDG : CARRE Antoine - Principaux associés : CARRE Eloi et Rémi • Effectif : 30 personnes • Chiffre d'affaire : 10 Millions de Francs en 1987 dont 7 % à l'exportation •
2- HISTORIQUE DE L'ENTREPRISE 1939 : Fondation par Mr CARRE Camille pour la fabrication et la vente de repiqueuses de choux et betteraves 1945 : Reprise des activités après la guerre avec 2 employés. Fabrication et vente de planteuses, puis d'outils à dents 1969 : Lancement d'une nouvelle machine pour la récolte des betteraves fourragères. Passage de l'effectif à 10 salariés. Elargissement-de la clientèle au plan national. 1980 : Réalisation d'un matériel d'arrachage- de haricots secs. Effectif : 18 salariés. Marché désormais ouvert sur l'étranger.
3- L'ENTREPRISE EN 1988 a) Ce qu'elle fabrique - matériel pour la récolte des betteraves fourragères - matériel pour la récolte des légumes à racines (carottes, betteraves rouge) - matériel pour l'arrachage des haricots secs - matériel pour 1s préparation du sol (cultivateurs, vibroculteurs etc.) - matériel pour plantation et binage (planteuse, bineuse) - matériel de manutention (bennes relevages avant, fourches à ensilage) - sous-traitance à la demande , b) Le personnel qui y travaille
• 3 femmes et 27 hommes plus des VRP multicartes • 14 salariés habitent St Martin dont 2 s'y sont installés pour le travail • 16 salariés viennent de l'extérieur dont 3 habitent St Martin la semaine et 1 va s'y installer prochainement
c) Ses fournisseurs - La matière première et les fournitures viennent de toute la France et même de Belgique et de RFA pour certaines fournitures spécifiques
d) Ses clients. - en Vendée : les agriculteurs et les revendeurs
• le reste de la France : les revendeurs de matériel agricole • à l'étranger : des importateurs.
Depuis son ouverture sur l'étranger, l'entreprise a vendu :
• des récolteuses de haricots : Tchécoslovaquie, Venezuela, Espagne, Italie et Nouvelle-Calédonie • des récolteuses de betteraves Suisse, RFA, Pays Bas, Gde Bretagne • des récolteuses de légumes : Irlande, Portugal • des bineuses : Algérie, RFA • relevages, rouleaux à spires : Suisse, Belgique
e) Sa politique commerciale L'entreprise se fait connaître : - En France
• Par le Salon de la Machine Agricole à Paris et autres foires • Par la publicité dans les journaux agricoles
- Par la prospection de ses représentants
• 2 exclusifs pour le Grand Ouest • des VRP multicartes pour le reste de la France
- A l'étranger
- L'entreprise adhère à une association d'exportateurs de Machines agricoles de l'Ouest de la France : le MARPEX, Elle se fait connaître par elle à l'étranger
- L'entreprise a en association avec d'autres constructeurs Français
• 1 représentant pour l'Espagne et le Portugal • 1 représentant pour la RFA
4) L'AVENIR L'entreprise mise sur l'avenir puisqu'elle est en train d'investir dans l'agrandissement de ses ateliers et bureaux dans la ZA des Fours. Les surfaces vont être triplées. Le nouvel atelier sera opérationnel courant février. Les bureaux seront aménagés, en avril,
- Les Objectifs : ouverture renforcée sur l'étranger surtout vers l'Europe objectif 1992
Elargissement de la gamme et mise sur le marché de produits nouveaux Progression de la qualité et de la technicité des produits.
AMIAUD PÊCHE, Fabrique d'articles métalliques de pêche
L’envie pour Mr et Mme AMIAUD qui habitent Sainte Cécile de créer une entreprise se réalise en 1971. Ils démarrent à St Martin avec les moyens du bord et décident de s'orienter sur la fabrication d'accessoires en métal plus particulièrement destinés à la pêche loisirs, quelques petits travaux.de serrurerie permettront de grossir le chiffre d'affaires. En 1975, 1’orientation est prise, un atelier de 400 m2 est construit qui permettra de travailler dans de meilleures conditions. En 1980, l'entreprise deviendra SARL et en 1986 doublera sa surface en atelier. Actuellement la Société emploie 9 personnes dont une femme, 8 résident à Saint-Martin et 4 à l'extérieur. Nos matières premières et nos différents composants' sont approvisionnés sur la région nantaise et banlieue parisienne avec quelques produits achetés dans les pays voisins. Nous fabriquons actuellement 400 produits différents sur catalogue destinés aux revendeurs détaillants, grossistes, centrales l'achat pour la pêche rivière et mer, les piscicultures, les étangs, les professionnels (470 000 articles vendus en 1987). Nous commercialisons nos produits avec une équipe de 10 représentants multicartes qui prospectent sur la France et les pays des DOM-TOM. Malgré quelques clients en Europe et en Afrique, l'export reste à développer. La compétition devient difficile à l'étranger et même sur les marchés français avec les importations des pays du Moyen-Orient. A l'avenir nous continuerons à jouer sur le service et la qualité de nos produits rigoureusement pour préparer 1992.
S.A. ATELIER DU CHOUAN, Fabrique de Meubles
La S.A. ATELIER DU CHOUAN est une société spécialisée dans la fabrication de meubles massifs à 100 % dans les essences Chêne, Merisier et Noyer. La société a repris, en octobre 1984, les activités de la Société MEUBLES D'ART MV qui avait dû déposer son bilan en juillet 1984. Sur les 21 salariés que compte actuellement l'entreprise, 15 d'entre eux sont actionnaires. Le personnel se compose de 4 femmes (dont 1 à temps partiel) et 17 hommes, plus des représentants. 12 de ses salariés habitent à Saint Martin. De plus, la Société fait travailler de nombreux sous-traitant : panneaux, tournage, sculpture... Certaines matières premières sont achetées en France comme le Chêne, le Noyer, la quincaillerie. D'autres sont importées : Merisier d'Amérique, vernis... Pour diffuser ses produits, la S.A. ATELIER DU CHOUAN dispose d'un réseau commercial composé d'un représentant exclusif et de 7 VRP multicarte. Ces représentants prospectent toute la France. La Société exporte un peu en Belgique et démarche actuellement pour travailler avec la R.F.A. Ses clients sont des négociants traditionnels chez qui s'adressent les particuliers recherchant des meubles de styles "haut de gamme". La conjoncture économique actuelle, particulièrement difficile dans le secteur de l'ameublement, oblige l'entreprise à une certaine vigilance. Pour faire face à ces difficultés, il faut en permanence créer des nouveaux modèles afin de s'adapter, le mieux possible, au marché.
TUILERIE - BRIQUETERIE NAULEAU
Entreprise familiale retransmise depuis plusieurs générations (1929). Société de fait NAULEAU Roger et Claude en 1970, 4 salariés, S.A.R.L. en 1980, elle en compte actuellement 8, dont 6 de St Martin et 2 des Essarts. L'argile, matière première des tuiles et briques est extraite des carrières de la Barre. Depuis 1976, nous lui ajoutons du "bri"(25%), en provenance du marais poitevin. 100 M3 par mois de cette terre d'alluvion nous est livrée par semi-remorque. Le mélange obtenu, après diverses opérations de broyage, concassage, mouillage finit sa course dans une mouleuse à vide d'air. Le matériau choisi est déterminé par la pose d'une "filière" (sorte de moule), puis découpé automatiquement. Il est ensuite mis au séchoir avant la dernière opération qui est la cuisson. Le grand four toujours en service, parce que restauré plusieurs fois, date de la création de la tuilerie en 1855. 30 Heures à 900° de température finale sont nécessaires à sa cuisson. Celle-ci est obtenue par la combustion du fuel lourd N°2 (30 tonnes par mois), après un préchauffage au bois (déchets industriels). En 1973, un second four fût construit, plus petit, (16 h de cuisson). Puis en 1982 un nouveau four où les matériaux sont entreposés sur wagonnets. Le chargement et le déchargement se font hors du four, c'est un confort par rapport aux deux précédents dont la chaleur en été est parfois incommodante. Notre principale production est la brique plâtrière (75 %), qui sert à la fabrication des cloisons et du doublage. Sept différents modèles existent, chacun pour une vocation déterminée. Nous ajoutons à cela une petite production de briques pleines, brutes ou pressées, et des drains pour entreposer les bouteilles. Le reste de notre production est la tuile canal, dit " tige de botte", vieille comme la Vendée. Et depuis 1985, la Canal sup avec son Brevet d'invention et son système à inter-verrouillage. Pas facile d'imposer sur le marché un principe qui n'ait pas déjà été employé ! Le fond plat, grâce à ses tenons, évite le glissement, et pour les granges à forte déclivité, il est très performant. La récupération de la tuile de l'ancienne toiture en diminue le coût, et quoi de plus beau dans la nature que ces toits remaniés avec des tuiles vieillies, aux tons rosés et rouges. Malgré la forte crise du bâtiment, l'entreprise a maintenu ses effectifs. Les matériaux qui autrefois étaient vendus dans un rayon de 30 Kms, sont maintenant en grande partie dirigés vers la côte. Les livraisons sont assurées par Mr Nauleau Roger, qui s'occupe par là même de la prospection. La concurrence est très vive mais nous gardons la moral et comptons mettre en service pour le début de l'hiver un four à rétracter qui permettra le houssage des palettes, et sera une protection contre les intempéries.
VOYAGES BARRETEAU
Créée en 1969 à l'aide d’une voiture, cette entreprise emploie actuellement 7 personnes (6 hommes et 1 femme) dont 6 résident à St Martin, et compte 12 véhicules se répartissant comme suit :
• 7 Autocars • 3 Voitures Taxis • 1 VSl (véhicule sanitaire léger) • 1 Ambulance
Son chiffre d'affaires se répartit en trois activités qui sont :
1) LES EXCURSIONS ; avec près de 50% du chiffre d'affaires, elles occupent une place prépondérante dans l'entreprise, surtout depuis ces dernières années.
La clientèle se situe à St Martin et dans les communes voisines, mais aussi dans les régions de la Rochelle, Rochefort, Nantes, voire Paris.
2) LES TRANSPORTS SCOLAIRES : ils représentent aujourd'hui $0% du chiffre d'affaires et ont lieu essentiellement au départ d'écoles de Vendée. 3) LB TAXI AMBULANCE avec 20% du chiffre d'affaires cette activité fait principalement appel à une clientèle de St Martin et des communes voisines.
Sa situation reste précaire en raison des difficultés financières de la sécurité sociale dont nous dépendons pour la majorité des remboursements. En conclusion, notre principal objectif est de développer l'activité touristique sans négliger pour autant les deux autres domaines.
S.A. BIBARD Daniel, Fabrique de remorques
1970 - début activité de ferronnerie intérieure et extérieure. 1972 - Construction du 1er atelier (fabrication d'éléments plus importante) 1978 - Début de fabrication de remorques. 1982 - Passage entreprise individuelle en Société Anonyme. La S.A. BIBARD fabrique des remorques routières de 300 à 3500 kg (sur mesure, à la demande de la clientèle). Elle emploie actuelle 7 personnes dont une femme (à l'origine, deux personnes), et des personnes pour la sous-traitance des pièces mécaniques, galvanisation et livraisons.
La S.A. BIBARD vend aux particuliers (ventes directes) : 20 %, garagistes : 15 % et agents exclusifs : 65 %.
La publicité se fait par prospectus, journaux et de bouche à oreille. Un bureau d'étude pour le dessin a été créé en 1987. M. Bibard reste optimiste pour l'avenir de son entreprise.
ETABLISSEMENTS BOISSELEAU Paul, Grains – Engrais - Produits phytosanitaires
Les établissements BOISSELEAU, rue René Couzinet, à Saint-Martin depuis 1933, ont pour activité la collecte et le stockage de céréales, oléagineux et légumes secs (la totalité des oléagineux étant exportée ainsi que la plus grande partie des céréales). Ils assurent l'approvisionnement de l'agriculture en engrais, semences et produits phytosanitaires de la grande culture au jardin, la distribution de fuel domestique et agricole. Ils disposent d'un certificat de transports publics actuellement inexploité. Tous les transports, benne et plateau, sont effectués par des entreprises spécialisées. L'évolution des méthodes de travail depuis 15 ans a été importante, puisque de la manutention entièrement manuelle d'autrefois on est passé à la palettisation et aux sacs de 500 kg. Dès 1980 parmi les premières de la Région, l'entreprise s'équipe d'une remorque épandeuse d'engrais qui met la distribution vrac au service de toutes les exploitations agricoles de la plus petite à la plus importante. Avec l'installation d'un pont-bascule en 1983 le vrac s'étend aux aliments du bétail. L'évolution des marchés agricoles au sein de ; la Communauté Européenne et l'incertitude des marchés internationaux, d'approvisionnement font des entreprises de négoce des auxiliaires précieux pour l'agriculture de, demain.
PICARD Roger – Grains – Engrais – Produits de traitement
Entreprise familiale créée en I960 : ayant pour activités, la vente des produits agricoles et des produits nécessaires à l'agriculture : engrais, produits divers de traitements, graines, semences céréales, maïs, tournesols et autres, alimentation du bétail, ainsi que du charbon. L'approvisionnement en engrais se fait directement aux usines à production, soit en sacs de 50 kilos ou de 500 kilos, soit en vrac ; ce qui permet à l'agriculteur de choisir sa façon d'épandage ; l'entreprise possède un semoir d'épandage en vrac, qu'elle tient à la disposition de ses clients. Les produits de traitements sont très variés pour 1'agriculture que ce soit en désherbants, insecticides, fongicides, et pour les besoins la petite culture, jardins, vignes, il existe une autre gamme de produits. Les céréales blés et maïs sont réceptionnés en vrac, stockés dans des silos et vendus 20 % à l'intérieur, et 80 % à l'exportation. L'entreprise assure un service de livraison à la ferme avec des caissons pour livraisons en vrac ou en sacs, ces caissons réceptionnent également les céréales de la ferme aux magasins de stockage. Un autre camion équipé avec des vis sert à livrer les aliments du bétail dans les cellules chez l'exploitant.
MINOTERIE GILBERT René – Le Moulin de L’Hommelet
D'un moulin à vent, il fut transformé en 1914. Monsieur GILBERT achète le blé chez des marchands de grains qui le livrent en vrac au Moulin. Le passage du blé à la farine se fait en plusieurs étapes. Avant de moudre le blé, il faut le ramener à un taux d'humidité à 16 %. Puis le blé est nettoyé (on enlève les pierres), ventilé (on enlève les balles), gratté (on enlève la 1ère peau). Le blé repose 48 heures en boisseau avant la mouture (il faut que 1 'humidité aille au cœur du grain) Re-nettoyage, puis broyage (4 fois) en alternance avec le passage dans le plansichter (complexe de tamis qui retrie et redistribue les différentes qualités de marchandises sur les cylindres et le tamis. A la fin, il en ressort de la farine, du son (divers sons), du petit blé. Ces deux derniers sont acheminés vers la S.A. Vendée Aliments. Quant à la farine, elle est livrée chez les boulangers de la région. Au Moulin de l'Hommelet, on ne fabrique que de la farine type SS réservée à la boulangerie. Malgré sa dimension, le moulin demeure performant puisque 4 500 quintaux de farines en sortent par an.
Garage BONNAMY Jean-Louis
M. BONNAMY a succédé à MM HERMOUET-NAULEAU le 1er octobre 1985. Outre la vente de véhicules neufs ou d'occasion, il procède à la réparation de voitures, tracteurs, camions etc. avec l'aide de deux ouvriers, son épouse assurant le secrétariat et la comptabilité. Le garage est ouvert tous les jours sauf le samedi après-midi.
Garage HERAUD Gilles
En 1969, installation dans une grange aux "Chapelles", situation provisoire qui dure 2 ans. 1971, construction du premier atelier, route de la Roche-sur-Yon 1977, la surface de l'atelier est doublée et un parking en sous-sol est aménagé. 1980, l'entreprise devient SARL. Elle compte aujourd'hui 10 salariés dont 2 femmes. Le garage HERAUD s'est orienté vers le marché de l'occasion. A l'atelier de mécanique s'ajoute celui de tôlerie-peinture. Le garage est ouvert tous les jours sauf le lundi matin.
Garage RIPAUD Francis
Mr Francis RIPAUD a créé son activité de ventes et réparations de motoculture de plaisance, cycles et voitures d'occasion en novembre 1985. Après avoir commencé avec les moyens du bord, dans le sous-sol de son habitation, la construction de son nouvel atelier a été possible en 1987. Depuis sa nouvelle installation, la vente et réparation de voitures d'occasion en plus de la motoculture et du cycle a pris un véritable essor, ce qui lui a per mis l'embauche d'un salarié. L'approvisionnement de petit matériel et pièces détachées est fait chez les concessionnaires de Vendée. Mais pour la recherche des voitures d'occasion, il faut que Mr RIPAUD se déplace vers la capitale (ou autres...) en plus des revendeurs régionaux. La vente se fait beaucoup par relation et par annonces dans la presse. Mr RIPAUD reste optimiste pour l'avenir de son entreprise, car sa clientèle locale et des communes voisines augmente. Le marché de la voiture d'occasion et de la motoculture semble actuellement favorable.
GUILBAUD André, Soudeur
Depuis 1986, M. GUILBAUD fait de la sous-traitance en soudure pour des entreprises mais son activité principale (80 %) reste le montage, l'installation et le suivi en entretien, réparation des chaînes dans les élevages avicoles. Il travaille seulement sur la Vendée. Il démarche pour lui-même. Ses fournisseurs se trouvent essentiellement en Bretagne ; tout matériel acheté est hollandais (pas de matériel français pour ce genre de travail). Pour M. GUILBAUD, l'avenir avec l'ouverture des frontières en Europe (1992) le laisse optimiste puisque l'Ouest de la France reste une région où le climat est le plus favorable pour construire des élevages avicoles.
NAULEAU René, Forgeron
Depuis 1967, M. NAULEAU travaille le fer. Au premier avril 1988, il créera la S.A.R.L. NAULEAU Père et Fils. Monteurs, techniciens en abattoirs de volailles, ils travaillent en régie. Ce sont des entreprises étrangères qui leur font appel pour la pose, la mise en place, l'entretien des chaînes et de tout le matériel nécessaire dans un abattoir de volailles. Les déplacements s'effectuent dans toute la France et essentiellement le week-end ou la nuit (pendant l'arrêt des chaînes). Peu de concurrence pour ce marché, donc un avenir certain pour ce genre de travail.
NICOLLEAU Armand, Vente de matériels neufs et occasion
Depuis 1965, M. NICOLLEAU vend du matériel neuf, des occasions en machines et outils. Il s'approvisionne beaucoup en région parisienne et revend aux entreprises et à quelques particuliers. Monsieur NICOLLEAU travaille à la demande : vente de moteurs, fraiseuses, tours, perceuses ... Sa publicité se faisant de " bouches à oreilles". Les clients viennent de Vendée et des départements limitrophes : Maine et Loire, Loire-Atlantique, Deux-Sèvres, Charente-Maritime. Afin d'améliorer son entreprise et d'offrir une gamme de services à ses clients, Monsieur NICOLLEAU s'oriente vers l'entretien du matériel dans les entreprises.
BIRONNEAU Geneviève, Tapissière d’ameublement
Tapissière d'ameublement, couture, décor depuis 1984, je confectionne des doubles rideaux, voilages, dessus de lits, coussins, tables juponnées et remets à neuf les salons. Je travaille principalement en sous-traitance pour des tapissiers décorateurs de Vendée (La Roche-sur-roc, Luçon) et également pour des particuliers. J'envisage de changer d'atelier, pour un local mieux adapté, afin de développer ma clientèle.
BRIEAU Claude, Menuisier-Ebéniste
Après avoir connu plusieurs fois le chômage. Monsieur BRIEAU décide en Mars 1985 de créer sa propre entreprise de menuiserie-ébénisterie. II a débuté dans un local de 40 m2, mais sa clientèle s'étant accrue, il est actuellement en travaux d'agrandissement. Depuis trois ans, son activité principale reste tout de même la prestation de service, car de plus en plus, les clients souhaitent acheter leurs matières premières.
SARL GERMOND et Fils
Elle s'efforce depuis 1985 d'apporter ses compétences à sa clientèle dans la restauration des meubles anciens, souvent, héritage de nos ancêtres; qu'ils soient du début du siècle ou des siècles plus reculés comme le XVIIème ou le XVIIIème. Le remplacement des pieds vermoulus ou des marqueteries disparues, une corniche refaite et ces meubles retrouvent tout leur charme d'autrefois. De plus, il est toujours possible d'y ajouter un complément en faisant une copie personnalisée et assortie à vos cabinets vendéens, armoires, pendules comtoises, chaises, etc... N'hésitez pas à venir lui demander conseil !...
Boulangerie BONNIN
Installé depuis 25 ans à Saint-Martin, M. Joseph BONNIN avait formé 13 apprentis dont un, médaille d'or). Au 1er janvier 1989 son fils Jean-Christophe lui succédera. La campagne est desservie par le portage effectué par une personne à raison d'une tournée par jour. En période normale la fabrication de 300 pains nécessite 100 kg de farine. A raison de 35 mn de cuisson par fournée, le boulanger se lève vers 4 heures pour terminer à 8 heures. Il lui faut ensuite préparer de la pâte à pain pour le lendemain, la diviser et la façonner avant de la stocker en chambre froide. M. BONNIN élargit la gamme de pain (pain de campagne, pains spéciaux) et pense développer la pâtisserie.
Boulangerie DELAVAUD
Installés depuis 1937, Mr et Mme ROGER Emile firent valoir leurs droits à la retraite le 1er septembre 1971 date à laquelle Mr et Mme DELAVAUD Claude prirent succession. Travaillant seuls au début de leur activité, ils emploient à l'heure actuelle deux salariés, un apprenti à temps complet, plus une personne à temps partiel. Ils fabriquent diverses catégories de pain (pain blanc, campagne, complet, son, seigle). La viennoiserie et la pâtisserie dont la brioche vendéenne complètent l’activité. La qualité de nos produits nous assure un avenir certain malgré la concurrence de certaines entreprises alimentaires.
CAILLETEAU Joël, Dépannage Télé - Ménager, Peinture - Papiers Peints
Mr et Mme CAILLETEAU sont installés dans la commune de St Martin-des-Noyers depuis 1973. C'est en 1983 qu'ils ont décidé de faire construire, rue de l'Aubépine. L'activité actuelle se divise en deux parties : le magasin avec un rayon de peinture, papiers peints, cadeaux, encadrements, radio, électroménager, location de matériel de nettoyage à sec de moquette, tenu plus principalement par Mme CAILLETEAU. Dans la partie artisanale M. CAILLETEAU s'occupe de réparation de télé, radio, petit et gros électroménager, antennes, etc. Cette activité s'exerce dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres. Le magasin actuel étant trop petit pour présenter de la télé et du gros électroménager, un projet d'agrandissement est en train de voir le jour afin de développer cette vente.
BAUDRY Jean-François, Café " LE TROQUET "
M. BAUDRY Jean-François travaille comme salarié pendant un an et demi. Puis en 1980, il achète le café. Il étend son activité à la restauration :
• Traiteur pour ceux qui le désirent avec livraison à domicile des plats commandés. • Traiteur pour noces, banquets, repas de famille. • Restaurant ouvert le samedi soir et le dimanche soir (dégustation de crêpes, galettes et autres.)
En plus de ces activités, il est dépositaire pour le loto national. Le café est le siège du club de billard anglais.
VERDEAU Arlette, Café-Restaurant
Depuis 1967, Mme VERDEAU exploite le café-restaurant, c'est en 1976 que l'entreprise est devenue une affaire familiale avec Mr VERDEAU et leur fille. Il est servi entre 30 et 40 repas journaliers ouvriers. Nous assurons également les banquets de classe et repas de famille sur commande. Le Café est ouvert 7 jours sur 7 avec seulement le lundi après-midi de fermeture.
BOSSARD René, Commerce de Tabacs-Journaux-Revues
Le 1er février 1959, Mr et Mme BOSSARD prennent la suite de Mr SEILLIER comme débitant de tabacs et recette des Impôts dans un local provisoire chez M. SIRE Séraphin face à la mairie. Le 6 janvier I960, ce commerce est transféré sur le lieu actuel, rue de l'Eglise. Le commerce existe toujours, tabacs, journaux, revues ainsi que la recette auxiliaire des impôts (la régie), cela depuis 30 ans.
LHOMMEDE Paul, la Brenauderie
Ayant connu plusieurs fois des périodes d'inactivité, je décide à ce jour de créer mon entreprise, diffuser des articles personnalisés auprès des entreprises. Comités d'entreprises, associations, clubs, sponsors, particuliers etc... Les produits : Des tee-shirts, sweat-shirts, joggings, sacs coton, bobs ...
• la personnalisation : prénom, chiffres, lettres, clichés spéciaux, logos, sigles etc... ainsi qu'un choix important de motifs originaux (enfants, humoristiques, sportifs, groupes variétés, etc...) • Je diffuse également des produits ménagers, d'hygiène et de soins, etc... • Je négocie actuellement avec un fournisseur pour diffuser des articles en photos émaillées et je pense pouvoir les présenter à la clientèle d'ici quelques semaines.
Pour l'ensemble des produits, je propose des réalisations ou diffusions immédiates ou dans des délais courts. Je recherche la meilleure qualité et propose une garantie sur les produits. Je travaille actuellement à la Brenauderie, mon activité s'étend à la Vendée voire les départements limitrophes. Travaillant beaucoup par prospection, je suis souvent en déplacement, les personnes désirant me voir sont invitées à prendre un contact téléphonique afin de leur éviter un déplacement inutile. Pour toutes démarches, vous pouvez me contacter jusqu'à 21 heures 30 ainsi que le dimanche matin.
COIF "DOMI"
Arrivée en novembre 1979, "et oui, presque dix ans déjà" et étant à l'étroit pendant plus de trois ans j'ai donc transféré le salon en mars 1983 où j'exerce actuellement avec une ouvrière et une apprentie. La coiffure étant un artisanat et une mode qui demande toujours à être remis en question, j'ai pensé qu'il était bon d'innover. C'est pourquoi depuis quelques mois l'ordinateur a fait apparition dans le salon et a séduit une bonne partie de la clientèle en permanente. Pour un service plus, je pense mettre sur pieds dans les jours à venir une gamme complète de soins capillaires contrôlé par l'ordinateur.
RAMBAUD René, Coiffeur Hommes - Naturaliste
Installé depuis le 2 Janvier 1980, j'entame ma dixième année dans notre commune en qualité de Naturaliste et de Coiffeur Hommes. Deux activités bien différentes mais tout de même conciliables. La naturalisation étant mon activité principale, je commencerai donc par celle-ci. Du moineau au sanglier, je naturalise 150 à 200 animaux par an et je tiens à votre disposition un dépôt pour le tannage des peaux de toute sorte, sauvage ou domestique qu'un artisan tanneur réalisera dans un délai de deux mois. Fils et petit-fils de coiffeur, je ne pouvais échapper à ma destinée. C'est pourquoi je me fais un plaisir de vous recevoir les mercredis, vendredis et samedis de 8 h 30 à 20 h dans mon salon de coiffure. Il est souhaitable de prendre rendez-vous afin de mieux organiser les journées pour vous servir plus rapidement. Je profite de mon passage dans le bulletin communal pour remercier les gens qui m'ont fait confiance jusqu'à présent tant en taxidermie qu'en coiffure.
JOLLY Michel, Transporteur de presse
Afin de recevoir vos journaux Ouest-France, Presse Océan, ou l'Eclair tous les matins il vous faut des transporteurs, transporteurs matinaux à la réception des journaux à la Roche-sur-Yon, Place du Sully, à 2 heures du matin. Les transporteurs sont au nombre de huit pour la Vendée. J'exerce ce travail depuis 1978, la tournée s'oriente dans la région Sud-Vendée et je livre quarante-deux communes pour terminer mes livraisons vers 8 h 30 du matin, heure variable suivant l'arrivée du camion en provenance de Rennes. Les dépositaires de notre commune sont livrés par le relais de Saint-Prouant.