Résultat de l’API de MediaWiki

Voici la représentation HTML du format JSON. HTML est bien pour le débogage, mais inapproprié pour être utilisé dans une application.

Spécifiez le paramètre format pour modifier le format de sortie. Pour voir la représentation non HTML du format JSON, mettez format=json.

Voir la documentation complète, ou l’ aide de l’API pour plus d’information.

{
    "batchcomplete": "",
    "continue": {
        "gapcontinue": "Restaurant_Scolaire",
        "continue": "gapcontinue||"
    },
    "query": {
        "pages": {
            "185": {
                "pageid": 185,
                "ns": 0,
                "title": "Recette locale des imp\u00f4ts",
                "revisions": [
                    {
                        "contentformat": "text/x-wiki",
                        "contentmodel": "wikitext",
                        "*": "S\u00e9ance du 25 mars 1879 : le conseil \u00e9met le v\u0153u qu\u2019un bureau soit cr\u00e9\u00e9 dans la commune dans la maison d\u2019Eug\u00e8ne Denis d\u00e9bitant de tabac compte tenu des 60 hectares de vigne existant sur la commune et n\u00e9cessitant des \u00ab acquits \u00bb pour le transport du vin.\n\nLa recette locale qu'on appelait commun\u00e9ment \"la r\u00e9gie\", vendait \u00e9galement des timbres fiscaux, notamment ceux n\u00e9cessaires \u00e0 l\u2019\u00e9tablissement des cartes d\u2019identit\u00e9\n\n{{Palette Saint-Martin-Des-Noyers}}"
                    }
                ]
            },
            "180": {
                "pageid": 180,
                "ns": 0,
                "title": "Ren\u00e9 Couzinet (1904 - 1956)",
                "revisions": [
                    {
                        "contentformat": "text/x-wiki",
                        "contentmodel": "wikitext",
                        "*": "==[[Biens communaux de Saint Martin des Noyers#Complexe Sportif|Ren\u00e9 Couzinet]] (1904 - 1956)==\n\n{{RaddoPhoto | id=3258839| legende=Ren\u00e9 Couzinet}}Ren\u00e9 Couzinet est n\u00e9 le 20 juillet 1904 \u00e0 Saint-Martin-des-Noyers dans une maison qui jouxte l\u2019\u00e9cole publique de gar\u00e7ons ou son grand-p\u00e8re maternel Emmanuel Allard est instituteur. Sa m\u00e8re Yvonne Couzinet a suivi la tradition qui veut que les femmes accouchent chez leur m\u00e8re. C\u2019est son p\u00e8re, Pierre, Isidore Couzinet dit Alexandre qui a d\u00e9clar\u00e9 l\u2019enfant en mairie. Ren\u00e9 Couzinet est mort le 16 d\u00e9cembre 1956 \u00e0 Paris XVIe, il \u00e9tait un ing\u00e9nieur en a\u00e9ronautique fran\u00e7ais et un constructeur d'avions.\n\nFils d'instituteur, il se passionne tr\u00e8s jeune pour l'aviation en observant le vol des hirondelles. Il entre en 1921 \u00e0 l'\u00c9cole des arts et m\u00e9tiers d'Angers (comme Louis B\u00e9chereau) d'o\u00f9 il sortira deuxi\u00e8me de sa promotion, non sans avoir entre temps d\u00e9pos\u00e9 plusieurs brevets relatifs \u00e0 l'aviation, avant d'int\u00e9grer l'\u00c9cole sup\u00e9rieure de l\u2019a\u00e9ronautique en 1924. Il parvient \u00e0 r\u00e9colter quelque argent dans une usine de turbines du Nord afin de payer ses d\u00e9buts d\u2019\u00e9tudiant, avant d'\u00eatre incorpor\u00e9, en novembre 1925, dans l'Arm\u00e9e de l'air o\u00f9 il devient sous-lieutenant.\n\nEn 1927, il construit le Couzinet 10 Arc en Ciel no 1 dont l'allure est tr\u00e8s moderne pour l'\u00e9poque. C'est un trimoteur monoplan en bois \u00e0 aile \u00e9paisse, avec une d\u00e9rive effil\u00e9e caract\u00e9ristique de tous les Arcs-en-Ciel qui suivront, pens\u00e9 pour pouvoir r\u00e9aliser des vols transatlantiques. L\u2019h\u00f4telier qui le logeait lui pr\u00eate 50 000 FRF et il trouve trois moteurs (180 chevaux) c\u00e9d\u00e9s gratuitement par Jacques Lacoste, l\u2019administrateur-d\u00e9l\u00e9gu\u00e9 du motoriste Hispano-Suiza. L'ing\u00e9nieur Georges Le Moy sera l'un des principaux concepteurs de cet avion. Le premier vol aura lieu le 7 mai 1928 au d\u00e9part d'Orly, Ren\u00e9 Couzinet, Maurice Drouhin et Giannoli prenant place \u00e0 bord de l'appareil[1].\n\nLes Ateliers des Mureaux acceptent de prendre en charge le premier prototype. Couzinet fait figure de prestataire de services. Couzinet entreprend \u00e9galement des \u00e9tudes d\u2019avions d\u2019observation que les A.N.F. Les Mureaux vendent. Albert Caquot apporta alors 6,6 millions au jeune ing\u00e9nieur pour quatre prototypes de l\u2019Arc-en-ciel, un appareil assez remarquable manquant n\u00e9anmoins de mise au point[2].\n\nEn 1928, il construit le Couzinet 27, quadriplace de raid qui s'\u00e9crase le 8 ao\u00fbt 1928 durant ses essais. Le m\u00e9canicien Lanet est tu\u00e9 sur le coup, le pilote Drouin d\u00e9c\u00e8de quelques jours plus tard, Gianoli et Manuel survivent \u00e0 leurs blessures.\n\nLe soir du 19 f\u00e9vrier 1930, les ateliers de Meudon, que l'industriel Emile-Louis Letord avait mis \u00e0 la disposition de Ren\u00e9 Couzinet, sont ravag\u00e9es par un incendie, qui d\u00e9truira non seulement les avions, mais \u00e9galement toutes les archives et les plans\u2026 L'ing\u00e9nieur qui avait \u00e9t\u00e9 \u00e0 l'origine des premiers prototypes, Georges Le Moy, r\u00e9ussit la prouesse, en quelques mois, de refaire enti\u00e8rement, de m\u00e9moire, tous les plans de l\u2019avion Arc-en-Ciel, ce qui permit \u00e0 Ren\u00e9 Couzinet de faire fabriquer l\u2019Arc-en-Ciel n\u00b03, avec lequel, en 1932, Ren\u00e9 Couzinet et Jean Mermoz effectueront le vol jusqu\u2019\u00e0 Buenos Aires.\n\nLe Couzinet 33 Biarritz, quadriplace de grand tourisme, fait son premier vol le 25 novembre 1931. Du 6 mars au 5 avril 1932, il r\u00e9alise la premi\u00e8re liaison a\u00e9rienne France-Nouvelle-Cal\u00e9donie avec Charles De Verneilh pilote, Max D\u00e9v\u00e9 navigateur, second pilote et radio et Emile Munch m\u00e9canicien]. Il est l\u00e9g\u00e8rement accident\u00e9 \u00e0 l\u2019atterrissage \u00e0 Tontouta Noum\u00e9a (l'\u00e9quipage est indemne). Il sera d\u00e9mont\u00e9 et ramen\u00e9 par bateau en France. Le Biarritz no 2 est r\u00e9par\u00e9 et \u00e9quip\u00e9 de nouveaux moteurs plus puissants : il r\u00e9alise toute une s\u00e9rie de liaisons en Europe et en Afrique notamment un Paris Moscou avec Pierre Cot le ministre de l'Air, plusieurs vols en Afrique dont un aux \u00eeles du Cap Vert. Au retour d'Afrique du Nord il s'\u00e9crase \u00e0 Blaisy-Bas (C\u00f4te d'Or) le 30 octobre 1933.\n\nL'\"Arc-en-Ciel\", le 14 juin 1934, atterrit pour premi\u00e8re fois \u00e0 Fernando de Noronha.\nLe Couzinet 70 Arc-en-ciel III fait son premier vol le 11 f\u00e9vrier 1932. Le 16 janvier 1933, pilot\u00e9 par Jean Mermoz et accompagn\u00e9 par Couzinet lui-m\u00eame, le Couzinet 70 (immatricul\u00e9 F-AMBV) franchit l'Atlantique Sud de Saint-Louis-du-S\u00e9n\u00e9gal \u00e0 Natal en 14h32 pour 3.173 km soit une moyenne de 227 km/h. Le retour s'effectue du 15 mai au 21 mai o\u00f9 l'arriv\u00e9e au Bourget est triomphale devant 15 000 personnes. L'avion fut ensuite exploit\u00e9 par Air France jusqu'en 1937.\n\nTous ces avions conservaient la m\u00eame formule trimoteur mais ne furent jamais accept\u00e9s avec beaucoup de chaleur par les officiels de l'a\u00e9ronautique fran\u00e7aise. En 1933, s\u00e9par\u00e9 d'A.N.F Les Mureaux, Couzinet appara\u00eet au bord de la faillite. Marcel Dassault disait de lui : \"Ren\u00e9 Couzinet fait de bons avions, mais il ne sait pas les vendre\". Par la suite, le bureau d'\u00e9tudes de Couzinet est int\u00e9gr\u00e9 \u00e0 celui de Breguet \u00e0 V\u00e9lizy.\n\nDurant la Seconde Guerre mondiale, il \u00e9migre au Br\u00e9sil o\u00f9 il est charg\u00e9 de la direction technique de l'a\u00e9ronautique nationale. \u00c0 son retour, la plupart des portes des bureaux d'\u00e9tudes lui sont ferm\u00e9es. Ses projets multiples et futuristes d'hydroglisseur et d'avions \u00e0 d\u00e9collage vertical ne d\u00e9passeront pas le stade de maquettes. Il ne parvient pas \u00e0 obtenir de l'administration l'autorisation de remettre en \u00e9tat ses ateliers sur l'\u00eele de la Jatte, d\u00e9truits durant la guerre. D\u00e9sesp\u00e9r\u00e9, il se suicide avec un revolver en entra\u00eenant dans la mort son \u00e9pouse, veuve de Jean Mermoz, le 16 d\u00e9cembre 1956[3]. Il est enterr\u00e9 au cimeti\u00e8re parisien de Bagneux.\n\nL'a\u00e9roport de La Roche-sur-Yon - Les Ajoncs porte \u00e9galement le nom de Ren\u00e9 Couzinet.\nLire le livre \u00ab Ren\u00e9 Couzinet, de Lindbergh \u00e0 Mermoz \u00bb d\u2019Emmanuel Galoyanni paru \u00e0 Geste Edition\n\n{{Palette Saint-Martin-Des-Noyers}}"
                    }
                ]
            }
        }
    }
}